L'histoire d'un père

Prise par surprise

Le moment était enfin arrivé. Mon coeur battait tellement vite vite je crus Qu'il avait arrêter de battre. Je passa la porte et je mis ma montre au poignet. Je commença a me diriger vers l'avenue Rainbow Bellevue pour rejoindre l'a route Bruce Woodbury Beltway. Après, je n'avais plus Qu'à le suivre pour arriver. Après deux heures, je dus faire une pose car mes jambes ne tenaient plus. Je regarda sur la carte pour voit ou je me situait. J'étais sur la 215 près de la rue Jones Bellevue. Je devais continuer à suivre cette route mais je devais Quand même penser à mon bien-être. Je m'installa un peu plus loin Que la route et je manga QuelQues céréales avant de me remettre en route. J'avais parcouru la moitié du chemin en deux heures. J'étais tellement fier de moi Que pour fêter ça, je bus mon jus de poire fait maison. Après 30 longues minutes de pause, je dus me remettre en marche. Le chemin était long et dangereux alors je devais être méfiante. Juste après m'être remise en route, une voiture noir aux vitres teintées s'arrêta et une femme en sortit. Elle me dit d'un voix très instable :
- Tu es perdue ma petite? Tu veux Que je te ramène chez toi?
J'étais vraiment tentée de lui dire oui et Qu'elle m'emmène chez mon père comme ça je n'avais pas à marcher. Comme je l'ai dis précédemment, il fallait Que je sois sur mes gardes alors je lui répondis poliment :
- Non merci madame, je ne suis pas perdu. Je ne souhaite pas être amener chez moi.
Elle me répondit l'air diaboliQue :
- De toute façon, tu n'as pas le choix!
Elle me pris le bras et me jeta dans sa voiture. Elle me liguota les mains et les pieds pour Que je ne m'échappe pas. Je hurlais aussi fort Que je pouvait mais elle me répondu en haussant le ton:
- Ferme ta g**le gamine personne ne t'entend t'es dans une bagnole en plus aux vitres noirs alors tu ne peux pas être sauver ma grande.
Je me mis à pleurer et à penser à ce Qu'elle allait me faire. Tout à coup, je sentit une chose au fond de ma poche. C'était mon fameux couteau suisse. Je continua à faire semblant de pleurer pendant Que je tentais désespérément de prendre le couteau Qui se trouver dans ma poche. Je finis par l'atteindre et à le sortir. Je le cacha derrière mon dos et j'essaya de couper les liens autour de mes mains. Je réussi mais il ne fallait pas Que je me réjouisse trop vite. Je n'allais Quand même pas sauter de la voiture à 120 km/h. Je lui demanda d'un ton très léger:
- Pouvons nous nous arrété car j'ai le mal du voyage et je ne me sens pas bien.
Elle me fis signe Que je devais attendre deux secondes car une informations passait à le radio. Après avoir écouté la radio elle me répondit comme si on se connaissait depuis toujours:
- Ça tombe bien, je dois aller m'acheter des clopes et je dois aussi couler un bronze cocotte.
C'était le bon moment pour m'enfuir. Je n'avais plus Qu'à attendre. Mon estomac était noué et je ne savais pas si j'allais m'en sortir.