The same passion

Chapitre 30

Salut tout le monde ! Je reviens avec énormément de retard. Je m'excuse pour ceux qui suivait l'histoire et qui attendait la suite avec impatience. Je reviens et je compte bien finir cette histoire entre nos deux tourtereaux ! Je vous laisse avec la suite du chapitre. Bisous et bonne lecture !

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Après être rentré de l'école et la merveilleuse discussion avec Dylan, je suis directement aller prendre une douche pour oublié notre conversation. Il ose me dire quoi faire mais je rêve ! C'est un truc que je déteste. Il passe du gentil garçon qui me fait craquer avec son sourire, à un mec distant et froid sans raison. Je vais jouer et il va voir qu'il ne faut pas me prendre pour une conne. Je vais me rapprocher de Hugo dans la limite du raisonnable et peut être que là enfin il me dira pourquoi je dois me méfier de lui.

Il m'a tellement foutu en rogne que je dois aller courir. Peut importe de l'heure qu'il est et tant pis pour la douche. J'enfile une tenue de sport, m'attache les cheveux et descend mettre mes chaussures. J'ai une idée tiensJe vais appeler Julie et lui demander si je peux passer la nuit chez elle après avoir couru.

Je lui envoie un petit message et attend sa réponse. Je remonte préparer un sac avec de quoi dormir si elle me dit oui. Quelques minutes après, je reçois son message pour confirmer que je peux bien sur venir dormir chez elle.

" Je vais courir je serais là dans deux heures."

Je n'attends pas sa réponse et enfile un pull, prend mes écouteurs et laisse un petit mot sur le plan de travail pour prévenir que je ne serais pas à la maison cette nuit. Ma mère est en réunion ce soir, elle ne verra que le petit mot tout à l'heure.

Je prends mes clés au cas où sans oublié mon sac à dos et sors enfin me dégourdir les jambes. J'enclanche Larmes de Klem une musique française et pars courir je ne sais où. Je fonce, je ne m'arrête plus. Je cours maintenant depuis plus d'une heure sans savoir où je suis. C'est quand j'aperçois l'endroit où Dylan m'avait emmener que je me rencontre que je suis vraiment loin maintenant.

Cet endroit me rappel de très beau souvenir. Je m'assois sur le rocher où nous étions la dernière fois et regarde l'eau qui coule sur les rochers. Cette vue m'apaise et me détend. Je laisse défiler ma playlist en regardant l'eau si transparente même à dix-huit heures. Le soleil se couche petit à petit et il commence soudain à faire froid. Je me lève et une idée me parvient. Je me déshabille, je garde uniquement mon soutien gorge et ma petit culotte et avance vers l'eau. Je rentre doucement dans l'eau pas à pas. Elle est si fraîche pour un mois de novembre mais je ne m'arrête pas. Puis je plonge la tête la première. C'est comme si des milliers d'éguilles me traverser la peau tellement elle et froide.

Je me mets sur le dos et regarde le ciel qui commence à devenir noir. Et à ce moment précis plus rien n'existe. Pour la première fois depuis longtemps, l'eau ne me fait plus peur. Je redécouvre les sensations de l'eau caressant mon corps frêle. Sa fraîcheur, sa douceur. La compétition m'a fait réaliser que ça me manquer terriblement de nager pour gagner, pour le plaisir

Après une demie heure à rester dans l'eau je sors enfin pour me rhabiller. Je regarde l'heure et il est déjà dix-huit heures trente. Julie doit se demander ce que je fabrique. Tiens d'ailleurs j'ai trois messages de sa part et deux appels manquer. Au moment où je m'apprêter à lui répondre que je suis en chemin et qu'il ne faut pas qu'elle s'inquiète. Un numéro que je ne connais pas m'appel.

Conversation téléphonique :

" Allô ? C'est qui ? "

" Evy putain tu es où ?! "