Une piste...

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Après avoir vue la vue ! ( Ah ! Ah ! Ah !) Nous nous sommes préparé un sandwich puis on s'est installer sur la longue table au milieu du salon afin de visionner les images grâce à une application pour espionner pour filtrer les images. Au départ, nous n'avons rien vu d'extraordinaire ou d'intéressant puis nous avons retiré tout le filtre et nous avons remarqué qu'il n'y avait rien d'intéressant car la caméra visionnait le plafond ! En fait, les malfaiteurs avaient déplacé les caméras suffisamment lentement afin de ne pas attirer les regards. M. Lahoucine commença :

" - Qui dit " déplacer une caméra " dit : empreinte digital !

- Oui c'est totalement vrai ! Allons en parler au chef !

- Pas tout de suite ! Il faut que je vérifie quelque chose. Donne moi l'ordinateur.

- Tiens.

- Merci bien.

Après avoir regardé quelque seconde d'image il déclare :

- Il y a un mouvement d'ombre par içi.

- Où ça ?

- Regarde, a deux heures du matin précisément ils ont attaqués.

-  Oui ! Je vois une ombre se déplacer à l'opposé de la caméra.  

- Maintenant, allons voir le chef !

- Oui. " 

Nous avons donc fermé l'ordinateur puis nous sommes dirigés vers la sortie, j'ai fermé la porte à clés avant d'entrer dans l'ascenseur. Une fois que nous fûmes sorties du bâtiment, nous avons passer le bas de la montagne et nous sommes rentrés dans le complexe... Il n'y avait personne qui nous a retenus, je suppose donc que tout le monde nous avait vu lors de la réunion. En suite nous avons toquer dans le "premier " bureau du commandant :

" - J'espère que c'est une bonne nouvelle que vous m'ameniez car j'en ai ras le bol des fausses bonnes nouvelles ! 

- Ne vous inquiétez pas, nous avons que de bonnes nouvelles pour vous !

- Alors allons dans mon bureau ! Je ne supporte pas ce suspense ! "

Nous sommes donc engagés dans le sous-sol. Puis après nous êtres installer au côté du commandant, j'ai commencer : 

"- Alors comme prévu nous avons visionnés les caméras et dans un premier temps nous n'avons rien remarquer d'étrange...

- Puis, continua mon père, nous avons vu qu'il n'y avait même pas de mouvement au niveau des gardes...

- Alors nous avons trouvé cela étrange !

- Donc nous avons conclu que la caméra avait été déplacée vers le plafond...

- En suite, nous avons conclu qu'il à bien fallu ce diriger vers les caméras pour pouvoir les déplacer...

- Et donc nous savons, cas deux heures précises, ils ont commencer  à passer à l'attaque...  ai-je terminer.

- Et en quoi cela nous est utile  à savoir ?

- A votre avis, comment peut ont déplacer une caméra ?

- Avec les mains ! Et donc il y aura des empreintes digitales !

- Parfait ! ai- je conclu.

- Il manque plus cas y aller. remarqua mon père

- Suivez-moi. "

Nous avons donc suivit notre guide, qui nous menaient a la salle des bombes. Il ne pouvait pas avoir peur de quoi que ce soit car il  n'y avait plus aucune bombes ! Alors, après avoir franchit plusieurs portes et passer plusieurs contrôle nous avons pût, enfin, atteindre la salle des bombes ( C'est ainsi que le l'appelle !) Il y avait plusieurs caméras mais nous avons tout de suit remarquer quel était la caméra qui a été toucher eà deux heures du matin. 

" -  C'est celle-ci . Affirma mon père.

- Êtes vous certain ?

- Il n'y a qu'une manière de le savoir.

- Oui. Bon, j'ai ramener une échelle pour pouvoir atteindre la caméra.

- Mais les hommes ont pourtant réussi à l'atteindre sans échelles. Non ? 

- C'est bien pour cela que je me pose des questions ! retorqua t-il .

- De toute façon , c'est notre seule piste. Alors ont fait ce que l'ont peux. N'ai je pas raison ?

- Oui, oui.

- Je vais monter. Ai-je déclarer.

- Faites attention. Je n'ai pas envie que notre seule espoir s'écrase contre le sol.

- Vous n'êtes pas sérieux rassuré moi ?

- Je plaisante ! C'est la seule chose qui nous reste a faire. N'est-ce pas ?

- Vous avez bien raison.

- Bon, montez  qu'on n'en finisse.

- A vos ordres chef !  "

J'ai donc escalader l'échelle qui était très haute et plus je gravais les marches plus je me disaient que ce n'était impossibles qu'ils aient fait cela sans grapin ou quoi que se soit... Or un grapin, on l'aurait entendu. Alors que j'était arriver au sommait, je pris une lamelle et je la colla contre la caméra ensuite je la mit dans un sachet stérile et je me mit a descendre. Mon père m'attendait avec impatience.

" - Il était temps que tu reviennes ! Tu aurais mit moins de temps a escalader une montagne !

- Alors maintenant, regardons les resultat.

- " Venez vite au bureau, Alerte général ! " 

Joyeux anniversaire !Where stories live. Discover now