Ashley ྀིྀི Hargreeves. {tome 2}

Chapter 33

Pdv de Klaus :
Je donnai à Ben les conditions à utiliser mon corps.
- Klaus : alors... Interdiction de me couper les cheveux maintenant, je les aime comme ils sont ensuite eum... Interdiction de tâter la marchandise enfin... Ça ne me dérangerait peut-être pas, j'en sais rien... Mais interdit de regarder, je suis pudique... Et pour finir, je ne mange pas de produits laitiers crois moi sur paroles.
- ben : merci Klaus...
- Klaus : tu peux faire vite.

Pdv de Ben :
Je  pris mon élan et plongeai dans le corps de Klaus en prenant ainsi la  possession, je baissai la tête et souris, j'étais dans le corps de  Klaus... J'allais de nouveaux goûter à la vie.
Je sortis dehors le vent frais frappant mon visage enfin celui de Klaus...
Je marchai, le long des jardins attrapa un fruit et croqua dedans.  Ce fut un festival de saveurs, cela faisait si longtemps que je n'avais  pas mangé sentir le goût des aliments même si celui que j'ai pris  n'avait pas très bon goût.

Je courus dans l'herbe la sentant me chatouiller les pieds, je recouvris chacun de mes 5 sens...
Je me laissai tomber dans de la terre et c'est là que je la vis.
- Jill : bonjour..
- Klaus (ben) : bonjour Jill.
- Jill : je peux me joindre à vous ?
- Klaus (ben) : non... Enfin... Oui, si tu veux
Elle sourit et retira ses chaussures avant de me rejoindre dans le carré de terre.
Elle s'allongea sur le dos les bras et les jambes écartés, formant un ange dans la terre du potager.
Elle se mit à rire et je fis de même.

Pdv de vanya :
Carl sortis de la voiture et s'appuyant contre une clôture où se trouvaient des vaches... Il resta silencieux, je soupirai et sortis à mon tour.
-vanya : tu veux bien me dire ce que je fais là ?
- Carl : ça te dit quelque chose ? La fièvre aphteuse, tu sais ce que c'est ?
Je ne dis rien essayant de comprendre où il voulait en venir.
- Carl : mon père travaillait dans un ranch en Californie... Vers 1924 il y a eu une épidémie... Il y a plus de cent mille bêtes qui ont du être abattu... Ça a touché toute la région... Papa a perdu son travail comme beaucoup de gens... Personne n'a réussi à trouver la vache malade à temps alors le virus, c'est répandu... Il faut combattre la maladie avant qu'elle ne se propage.

Je compris aussitôt où Carl voulait en venir, il était évident qu'il était au courant pour moi et Sisi.
-vanya : je n'ai rien d'une maladie Carl.
- Carl : baah... T'as cas appelé ça comme tu veux, mais ça n'a rien de naturel et il n'est pas question que ça se passe sous mon toit... Avec ma femme
-vanya : tu ne me fais vraiment pas peur.
- Carl : t'en mieux t'en mieux... Mais c'est à Harlan que tu devrais penser.
-vanya : comment ça ?
- Carl : cette situation ce n'est pas bon pour lui... J'envisage de l'envoyer quelque part pendant un temps.
-vanya : quoi où ça ?!
- Carl :  dans un institut capable de prendre en charge les gens comme lui, ça  lui fera du bien de recevoir les soins adaptés à ce qu'il a
-vanya : tu te rends compte de ce que tu dis !
- Carl : en revanche, je ne serai peut-être pas tenté d'en arriver là si tu partais... Harlan pourrait de nouveau passer du temps avec sa maman et son papa, ce serait tout naturel.

Il me désigna la voiture de la tête.
- Carl : avec Jim, on va s'en racheter un.
Il me lança les clés.
- Carl : alors je te laisse la voiture... Et je te demanderais de bien vouloir prendre tes affaires et quitter ma maison d'ici mon retour.

Pdv de Alison :
Je rentrai chez moi un sac rempli de courses dans la main, je relevai la tête et vis Luther s'avançant vers moi.
- Alison : Luther ?!
- Luther : cinq nous ramène chez nous... On part dans 42 min.
- Alison : que... Quoi dans 42 min ?!
- Luther : je sais que ça fait beaucoup à encaisser d'un seul coup..
- Alison :.. Attends-je ne comprends pas là
{Je posai mes courses sur la table.} Pour la fin du monde, on ne fait rien ?
- Luther : cinq m'a dit que si on partait maintenant tout finirait part rentrer dans l'ordre.

Je baissai la tête.
- Alison : tu veux dire que j'ai une chance de revoir clair ? Dès ce soir ?
- Luther : j'en sais rien du tout, je ne sais pas qu'elle monde nous attend, je ne peux rien te garantir
- Alison : Luther je... J'en ai marre de perdre les gens que j'aime t'imagine si cinq se plante encore une fois et si je me retrouve sans personne
- Luther : on n'est pas chez nous ici. Faut qu'on rentre à la maison
- Alison : je ne sais pas si j'y arriverais.
- Luther : Alison... On n'est pas comme les autres... On est différent... Ce qui veut dire qu'on pourra jamais avoir une vie normale quoi qu'il arrive ici ou ailleurs ça change rien.
- Alison : ce n'est pas juste.
- Luther : je sais, mais si on veut sauver le monde, il faut qu'on soit prêt à tout... Et puis c'est la plus grande qualité de la famille
- Alison : l'imprudence ?
- Luther : non l'espoir
Je rigolai légèrement et enfouis ma tête sur son torse Luther me prenant dans ses bras.

- Ray : ma puce..?
Je tournai ma tête vers lui et il remarqua mon visage rempli de larme.
- Ray : ça ne va pas ?