La rébellion

45 3 6
                                    

Istanbul 1623
Maria sultane à dirigé l'empire ottoman en personne en tant que régente pendant 10 ans, mais lorsque le fils de Maria, le sultan Selim,  prends le pouvoir, il veut rétablir l'ordre, mais les traîtres répondent par la rébellion. À cause des traîtres au sein du gouvernement. l'empire ottoman est au bord du désastre et au bord de l'effondrement. Les hommes les plus proches du sultan ont été capturé et exécuter par les traîtres. Le sultan devra soit donner les choses que veulent les traître ou il perdra son trône.
Traître : où est ce sultan Selim en qui vous aviez confiance ? Qu'il vienne vous sauver maintenant.
Palais de topkapi
garde : messieurs, inclinez-vous, son excellence Maria sultane arrive !
Maria entra dans la chambre de son fils.
Maria : Selim  fils ces traîtres sont devenus fous, Le mieux maintenant c'est qu'on leur donne ce qu'ils veulent !
Selim : tout ce qui se passe et précisément pour ça ! On se soumet à eux, au lieu d'être fort comme le sultan du monde. Maintenant, ils ont sacrifié mes hommes les plus proches. Quel crime mon trésorier a-t-il commit et Ahmed ? Ou quel crime Musa a-t-il commit.
Maria : Selim celui qui compte c'est toi, c'est toi qui dois vivre. Tu dois être patient comme moi, tu dois rester calme et on prendra la tête de l'empire quand il sera temps....
Toc toc
Selim : entrer.
Ibrahim : votre majesté, le grand vizir est arrivé.
Selim : laisse-le entrer.
Mehmet : votre majesté, les soldats veulent vous parler, ils veulent vous
voir. Ils disent qu'ils veulent dire des choses au sultan. Ils Exigent votre présence. Qu'Allah l'interdise... ils seront capables de détruire le palais au-dessus de nos têtes. Votre majesté, les traîtres veulent aussi la tête de Yusuf pasha. Ce n'est pas le moment de protéger qui que ce soit.
Selim : j'ai démis de ses fonctions  Yusuf pasha. Juste parce qu'ils m'ont demandé de le faire, mais je ne le donnerai pas à ses  traître. de toute façon j'ai fait partir le pasha, Ils ne le trouverons jamais.
Mehmet : ils diront que le sultan le cache.
Selim : je me fiche de ce qu'ils pensent. Je n'ai peur que d'Allah, je vais les affronter et aller les voir...
Maria : Selim ! Mon fils suprême
Maria fit un signe aux deux hommes de sortir et de les laisser seuls
Maria : Écoute-moi. D'accord, tu es désespéré je sais. Mais tu n'obtiendras rien avec cela. Tu ne peux pas gouverner l'empire avec colère et fierté. si la situation l'exige, il faut prendre du recul pour que tu puisses voir le vrai visage de tes ennemis. N'oublie pas un sultan qui ne sait pas admettre sa défaite ne pourra jamais être victorieux.
Le sultan quitta la pièce est partit pour affronter les traîtres.
Juste avant de passer la grande porte qui sépare les soldats et le sultan, Selim remarqua la présence de Yusuf pasha.
Selim : Yusuf pasha ? je t'avais ordonné de partir. Pourquoi es-tu toujours là.
Yusuf : pardonnez-moi, votre majesté, je ne peux pas partir. Pour la première fois, je vais désobéir à votre commande. Je n'ai pas peur de mourir.
Selim : non, de tout façon ça n'arrivera pas !
Yusuf : mon sultan, J'aimerais qu'il y ait mille Yusuf pasha qui vous soient fidèles. Si ce n'est pas trop demander veiller sur mes enfants, qu'ils ne manque jamais de rien.
Selim : Yusuf !
Sans rien ajouter de plus, le pasha franchit la porte et se rend à ses traîtres.
Derrière la porte...
Traîtres : c'est Yusuf pasha, c'est lui qui dit au sultan d'être un tyran avec nous ! N'ayez aucune pitié pour lui compagnons tuez-le.
Les traîtres se jette sur le pasha et le poignarde des dizaines de fois.
Le sultan en colère décide de sortir
Garde : messieurs, inclinez-vous, le sultan Selim est la !
Selim : vous n'avez pas peur d'Allah et de la loi, de quel droit vous ne baissait pas votre tête devant votre sultan ou devant la loi ! Bande d'oppresseurs !
Traîtres : nous ne sommes pas des oppresseurs, sultan, pourquoi un pasha aussi bon que Adem pasha a-t-il été tué ? Nous avons également entendu dire que les princes avaient été tués. Nous voulons voir les princes !
Selim : De quoi parlez vous ?! Les princes n'ont pas été et ne serons pas exécutés ce sont mes frère !
Traîtres : on ne croit rien, tu a tué le ministre Adem tu peux aussi tué les princes. Il a assassiné les princes. Si tu ne nous laisse pas voir les princes, tu ne peux pas être notre sultan !
Selim : ramener les princes !
10 minutes plus tard les princes arrivent
Traîtres : vive le prince Osman !
Osman n'est pas le fils de Maria, c'est le fils d'une autre femme du père de Selim. Cette femme a était viré du palais par Maria
Osman fais un pas en avant pour que tout le monde puisse l'entendre.
Osman : messieurs ! Qu'est-ce que cela signifie ! Nous sommes en très bon état, quelle est la raison d'utiliser nos noms et de provoquer une rébellion ? Voulez-vous être la cause de nos mort. Vous ne craignez pas Allah ?! N'avez-vous pas honte de faire quelque chose comme ça devant votre majesté  le sultan Selim ?! Pour l'amour d'Allah laissez nous tranquilles ! Ont a pas besoin de votre soutien !
Traîtres : nous voulons une garantie du sultan. Une garantie pour qu'il ne touche pas les princes. Nous voulons une garantie !
Ozan : ASSEZ ! Moi, votre cheikh-al islam. Je garantit la protection des princes !
Mehmet : moi aussi, maintenant partez chez vous. Nous serons là garantie de sa majesté.
Traîtres : nous acceptons la garantie du cheikh-al islam et du grand vizir.
Les militaires range leurs épées, partent et Selim rentre au palais.
A l'intérieur du palais.
Maria : laisser les choses se calmer, quand tout le monde aura baissé ça garde. Nous réglerons les comptes avec eux.
Dans la cuisine du palais.
Cuisiner : je suis allé en ville ce matin, la rébellion a pris fin mais les commerçants sont toujours dans le mal. Quelques militaires continue de collecter les taxes illégalement
Omer : Laissez-les, À en juger par ce qu'il font, il semble qu'ils veuillent mourir. Attention vérifie le lait de Maria sultane.
Cuisinier : Ne t'inquiète pas, je m'en occupe.
Meryem : Le lait de Maria sultane est prêt ?
Cuisinier : oui, c'est prêt, tu peux le prendre.
Omer : avec un peu de miel ! La sultane aime ça.
Cuisiner : J'ajoute le miel tout de suite.
Meryem se dirige vers la chambre de la sultane. ( Omer est l'homme le plus proche de Maria depuis plus de 10 ans. Et Meryem une assistante qui surveille le harem de Selim. )
Mon histoire est inspirée d'une série.

L'empire ottomanOù les histoires vivent. Découvrez maintenant