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Dream

Le sable est chaud et l'air est frais. Le son des vague frappant sur le rivage remplie le silence si doux et apaisant. L'eau glisse sur mes pieds. Elle est froide et me provoque quelque frisson. A l'horizon le soleil se couche, laissant une couleur oranger dans le ciel assombri petit à petit. George pose sa tête sur mon épaule  alors que je m'empare de sa main et que je lui caresse le dos de celle-ci. Ses paupières semble être plus lourde, il doit être en veille de s'endormir. Sapnap, Karl, Wilbur et Quackity reste près du deux à se rencontrer des histoires ainsi que des blagues pour passer le temp. Je suis songeur, légèrement absent, l'esprit vagabond. Mes pensées divague d'un sujet à l'autre, l'es moment revu dans ma tête me rendent nostalgique... Mon enfance me manque, elle n'est jamais vraiment été normal et compléter. Je n'ai pas eu le temps de la vivre comme je le voulais, trop de chose l'a perturbé...

Je relève la tête, la lune reflète sur la mer.... c'est fou ce que le temps passe vite.. Les vagues et le vent ce transforme en une seul mélodie et me rend encore plus calme. Cette sensation est tellement agréable. Le souffle régulier de George souffle dans mon cou et ses cheveux virevoltant dans le vent me chatouille la nuque. Je n'avais rien sentir de tel envers quelqu'un, un amour si fort qui nous pousse à nous dire que même mourrir pour cette personne ne nous dérangerais pas. Je tien à lui plus qu'à ma vie... Bien que George sois l'une des personnes les plus proches de moi, mais à l'hôpital j'ai eu l'occasion de me faire deux trois amis. Ces personnes faisait partit de mon quotidiens puis-ce qu'elles partageaient la même chambre que moi. Je connais mon homosexualité depuis longtemps, il y avait ce garçons... Fundy. J'avais peut-être quinze ans, je ne ressentais pas grand chose pour lui, seulement, lorsque je rencontrais son regard, mon cœur battais à toute vitesse et lorsqu'il me souriait, j'avais de l'espoir... Je me disais qu'il me comprenait, j'avais espoirs que s'il était capable de sourire si joliment, je pouvais aussi. Son sourire était un petit bonheur pour moi, il faisait mes journées, c'est ce qui m'avais charmer. A cette âge la, je commençais a comprendre que je ne pouvais pas passer toute ma jeunesse dans une hôpital. Je cherchais simplement à être guérie, retourner chez moi et rencontrer l'élu de mon cœur pour ainsi vivre une vie normal. George ne quittais pas ma tête, je continuais de croire en se que mon père m'avais dit, que s'il m'étais destiner, la vie allais le faire revenir vers moi, mais je commençais à perdre espoirs, je me croyais plus en la lumière, tout ce que je voyais étais le coté obscure de cette vie qui me semblais si cruelle.  C'est alors que j'ai décider de me contenter de ce que j'ai et de normaliser mon enfance à l'hôpital, faire ce que des adolescents ferais, mais avec les restrictions de l'hôpital.

Le poids de George me semble subitement plus lourd, me proposant qu'il s'est belle et bien endormi sur moi. Je sourit et lui caresse la tête. Ses cheveux son si doux, je ne peut m'empêcher de passer ma main entre ses mèches. Sa présence est réconfortante. Elle me prouve que ce que mon père m'a dit est bien réelle. A l'horizon j'aperçois une étoile filante, le premier souhait qui me vient en tête est d'espérer que les démons de la vie s'éloigne de nous et que nous pouvons vivre heureux George et moi.

J'entends mes rires des quatre garçons près du feux. Tout me semble plus joyeux depuis que je me suis réveiller de mon coma... Un peut trop joyeux même..

- Dream ! Geor-
Commence Karl avant que je ne lui fassent signe de parler moi fort. Il hoche de la tête et s'approche en silence avant de s'assoir un demi mètre plus loin de nous.

- Il dort ?
Demande-t-il en chuchotant.

- Oui.
Répondis-je sur le même ton.

- J'avais une question... Tout à l'heure je t'ai vue fixer cette photo d'enfant que tu as trouver dans ma chambre plus tôt, avant de la remettre dans ma boîte que tu as placer sous ton lit. Dit moi, tout ces objets compte beaucoup pour toi ?
Me demande-t-il. Je ne répond pas instantanément, choisissant bien là réponde que je pourrais lui donner.

- Ce son des souvenirs que j'ai passer des années à vouloir oublier... Mais j'ai vite compris que sa ne servirais à rien. Maintenant, ces vulgaires objet tel qu'ils peuvent paraître son devenu tout se qui appartient à mon passer... Je ne veux pas m'en débarrasser... Tout ce qui se trouve dans ces boîtes représente chaque moment heureux que j'ai pu passer, parce que je peut te garanties qu'ils ne l'ont pas beaucoup été...
Répondis-je le nez pointé vers l'horizon. George replace sa tête sur mon épaule dans un soupire, et redeviens silencieux par la suite. Je  continue de caresser ses cheveux et lui embrasse le dessus de la tête.

- Tu n'as pas eu une enfance facile ?
S'intéresse Karl. Je secoue négativement de la tête, son regard s'assombrit, comme s'il avait de la peine pour moi.

- Je suis désoler...
Souffle-t-il. Je lui sourie pour le remercier, mais je ne veux pas de ses excuses.

- Ce n'est pas de ta faute Karl, tu ne peux rien y faire de toute façons. J'ai grandit ainsi, et le temps ne nous permet pas d'y revenir et de tout changer tel qu'ont le veux, sinon nous passerions notre vie à vouloir réparer nos erreur et nous n'apprendrions jamais de nos erreur... La vie en a décider ainsi, je n'ai pas mon mot à dire là dessus.
Dis-je. Il hoche de la tête et commence à jouer avec le sable. Il dessine des formes, elle me semble incompréhensible.

- Je n'en n'ai parler à pratiquement personne, mais moi non plus ça va pas être facile. J'ai toujours eu peur d'en parler, par peur de ne pas me faire comprendre. Tu vois ses dessins ? Ils sont incompréhensibles non ? Si tu le regarde d'une bonne œil, ces dessins représente la folie. J'ai été ans une hôpital psychiatrique parce que... J'ai manquer tuer ma mère lorsque j'étais petit... je lui en voulais à mort et je lui ai lancer un couteau dans la cuisse... je l'ai regretter, je n'avais que quartes, alors il n'y avais pas grand chose à faire. Je ne compte pas le refaire un jour, les gens n'ont pas à s'inquiéter, mais personne ne le comprend, alors ont m'évite, c'est donc pourquoi je ne parle plus du tout. Je le disait pour l'attention avant, mais ça ne sert à rien. Je ne voudrais pas que Sapnap sois au courent, j'ai peur de sa réaction... Même de la tienne... Vas-tu me repousser pour autant ?
Dit-il avant de relever le regard vers moi, les larmes aux yeux. Je ne sais pas pourquoi il a décider de m'en parler, mais il a ma parole, je n'en dirai pas un traitre mot. Je discute encore un peut avec Karl avant de décider d'aller porter George dans la chambre. Je le dépose sur le lit sans toute fois le réveiller. Je me change rapidement  et le rejoins. J'entour mes bras autour de sa taille et enfui ma tête dans son cou. Je laisse mes pensées libre de divaguer de sujet en sujet avant que le sommeille de me rattrape.

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Hello ! Désoler de vous faire patienter, je compte publier plus pendant les congés de temps des fêtes puis-ce que le temps me le permet plus.

A plus ! J'espère que vous aurai aimer <3

Midnight Nightmare T3Où les histoires vivent. Découvrez maintenant