« Venir ! Venir ! ¡Un peso por kilo de naranjas! »
Je gambadais dans les ruelles de Medellin. Mes narines me remerciaient des nouvelles senteurs qu'elles découvraient de jour en jour.
Arepa.
Ajiaco.
Bandeja Paisa.Ma grand mère qui faisait goûter ses Papas Rellena à tous le voisinage. Alberto qui hurlait au petit garçon qui l'avait accidentellement bousculé... Alejandro qui descendait en fer à repasser en balançant devant les portes des maisons, le journal quotidien.
El paraiso.
(Le paradis)Si seulement on m'avait dit que d'ici peu de temps, je ne reverrai plus jamais ces gens, plus jamais ces senteurs, plus jamais ce paysage. Que je ne refoulerai plus jamais les terres mexicaines dans ce colombienne.
VOUS LISEZ
Le radeau du désespoir
RandomQuand Manuela quitte le Mexique dans l'espoir d'une vie meilleure, direction la terre américaine promise, comment aurait pu-t-elle savoir que ce petit radeau l'emmènerait non aux rêves américains mais au plus fin fond des flammes de l'Enfer ? Le rad...