"Une journée comme les autres"

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Cela fait déjà un mois que j'ai commencé mon travail au café et je commence à me sentir habituer comme si je faisait cela depuis un ans au moins. Par contre je n'ai pas pris de commandes encore et c'est bizarre.

- Connie, occupe toi de ce client sil te plait je suis appeler à l'arrière.

- Oui bien sûr.

Comme si l'on avait lu dans ma tête. La patronne me la demander donc Maggy ne peut pas se mettre à travers de mon chemin et cette dernière semble très distraite donc...


J'arrive au comptoir et fait face à un homme, grand, beau avec des traits asiatiques prononcés. Je lui souris et, un peut gêner, déglutit en le regardant droit dans les yeux...


- Bonjour, que puis je faire pour vous?

- Désoler, c'est la première fois que je viens ici.

- Ah, et bien pas de soucie je vous laisse regarder le tableau...

- Hummm, qu'est-ce que vous me conseiller?

- Hummm et bien, si vous êtes amateur de café noir je vous conseil le café Americano et si vous aimer les boissons sucrées nous avons un nouveau thé chai et pêche qui se marie bien à la saison.

Il parut intéressé mais se tourna vers le tableau menu et y observa un coin pendant un moment ...

- Et celui là? Le café rêves.

- Ah oui, c'est un nouveau café et il est à la fois amer et sucré avec un mélange de saveurs commune.

- Et bien je prendrai celui si s'il vous plaît

- Très bien je vous fait ça.

Quelques minutes plus tard


- Voilà votre café rêves.

- Ah Connie te voilà, tu as fini avec le monsieur?

- Hum oui m...

- Alors vient, j'ai besoin de toi vite.


Je n'ai même pas le temps de me retourner et de prendre l'argent que je vois au loin de la boutique, l'homme sortir

- Bonne journée!

J'ai à peine le temps de lui retourner ces paroles et j'ai tellement la tête ailleurs que je ne le retiens même pas pour l'argent et je me précipice ensuite vers l'arrière de la boutique pour voir ce qui si trame.

Ce n'étais qu'un problème d'eau, qui m'auras couté une gaffe économique et une fin de discussion pas très professionnel. Le positif ces que le problème d'eau est régler maintenant.

Quand je retourne près du comptoir, j'y vois de l'argent déposer d'une façon trop professionnel pour que se sois un client lambdas. Oh

Je réalise par la suite que c'était ma première commande et que c'était très bizarre vue l'ambiance tendu que j'eu tout le reste de la journée. Ouf. Je ne m'attendais pas à un si belle homme comme premier client et j'aurais voulu pouvoir être plus convaincante (il avait l'air un peut froid)

Je fini ma journée un peu après et me rend chez moi.

Arriver chez moi, je réalise en ouvrant le frigo qu'il est presque vide et que je n'ai rien de quoi me faire un bon repas, c'est dommage car l'épicerie était prévu pour demain... bon ce n'est pas grave une journée de plus ou de moins c'est quoi?

Bon Connie, tout va bien... tout ira bien.


Arriver à l'épicerie, je prend un panier en y insérant une pièce et me rend à l'intérieur en prenant une bonne bouffer d'air. Je zigzag entre les gens et les allées en prenant se dont j'ai besoin et en me faisant le plus petit possible pour ne pas déranger. À un moment je me détend mais mets quand même mes écouteurs pour ne pas prendre de chance. Je finalise mon épicerie dans la section asiatique et change ma musique pour être bien dans le thème. Il me faut quelques sachets d'algues et de ramen instantané. Quand j'ai fait le tour de l'allée en ayant pris plus qu'il n'en fallait, je me résigne à faire demi tour direction caisse mais mon oeil (comme toujours) ce laisse attirer par une paire de baguette disposer vers le haut de l'étagère accrocher à un rack d'ustensiles. J'essaye tant bien que mal de l'attraper et, un peu gêner, me met à regarder autour de moi comme une enfant de honte que l'on ris de moi. Oui je suis petite, et alors! Bon, j'imagine que ça veut dire que l'univers ne veut pas que j'achète une centième paire de baguettes.

Dans mon moment de désespoir, je baisse le bras et change de direction...

Arriver vers la caisse j'enlève un de mes écouteurs mais en garde tout de même un pour rester protéger, salut le caissier et d'une main frêle viens appuyer ma carte sur la machine. Quand le son du bipe retenti, c'est comme si j'était libérer d'un poids énorme... c'est toujours pareil...

Je sort d'un pas lent du magasin après avoir souhaiter une bonne journée au caissier et me rend vers ma voiture. Une fois à l'intérieur je souffle un bon coup et met le contacte, je m'apprête alors à quitter l'endroit quand une voiture familière passe derrière la mienne... je me fige et, du coin de l'oeil, vérifie que j'ai bien vue ce que j'ai vue.





- ATTENTION!

Every day in aprilOù les histoires vivent. Découvrez maintenant