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DEPUIS QUAND EST CE QU'ON PEUT CHANGER DE CORPS COMME CA MER*E ? J'aurais pas pu être dans la vie d'une star ou une actrice !? Aller ce n'est pas le moment de plaisanter, je ne sais pas comment j'ai atterrie ici, mais je dois pouvoir trouvé quelqu'un qui va m'aider. C'est ce que je ferai en cas d'invasion zombie, et là... C'est... C'est pire !



Toujours perdue dans ses pensées, la bonne fais comprendre à Jennie qu'elle est toujours en serviette alors que la jeune fille phase depuis bientôt cinq minutes. Alors qu'elle allait aidé Jennie, celle-ci lui hurle qu'elle est assez grande pour s'habiller toute seule et exige à la servante de sortir.

Non mais... Okay pas la peine de paniquer...

Cependant à peine quelques secondes après qu'elle ai chassé la bonne femme, Jennie se rends compte qu'elle ne sait même pas s'habiller.

Comment est ce qu'on met des robes ?!

Elle a beau la tourner dans tous les sens, elle ne voit pas comment entrer dans cette chose bleue, et pire que ça, elle n'a pas de sous vêtements... Elle ouvre alors la porte pour au moins savoir ou est ce qu'elle peut avoir des sous vêtements propre, mais la servante est partie, le long couloir est désert bien que très éclairer par le soleil.

Super ! Comment je fais moi alors ?

La jeune fille se remet dans l'étude de la robe quand la porte s'ouvre à la volé.

- Qu'est ce que tu fais toute nue encore ?

Voyant qu'elle a raison Jennie se couvre les parties intimes.

C'EST QUOI CETTE MAISON DE FOU? Et Quand est ce que j'ai enlever ma serviette ?

- Vous êtes qui vous ? Qui vous a permis d'entrée ?

Elle ne reconnaît pas la femme devant elle, et ne dit plus rien se contente de la dévisager en ramassant sa serviette plus loin sur le lit.

Une famille de fou !

Entre la plus jeune qui verse des glaçons dans son bain et la plus âgé qui entre comme si c'était la cuisine, Jennie pensa qu'elle est bien tombé, même pour une kidnapper.

C'est qui elle ? Qu'est ce qu'elle me veut ? Si elle tente quelque chose je la poignarde avec la broche de cheveux qui est accroché au chevet du lit.

Jennie regarde la personne de haut en bas. Devant son silence la femme debout devant la porte regarde la robe sur le lit et la jeune fille à quelques mètres plus loin, elle comprends alors que c'est un problème de vêtement. La femme rigole et s'approche du lit mais Jennie s'en éloigne ne la faisant pas confiance.

- je croyais qu'une bonne t'aidais ? Ne sois pas si distante ma fille.

Ma fille ? C'est ma mère ? comment le saurais-je? Je n'ai jamais connu ma mère.

- je suis vraiment désolé de ne pas être la souvent, j'aimerai tellement passé du temps avec ta sœur et toi.

La femme s'assoit sur le lit et remet la robe que Jennie à froissé en ordre.

- Je m'absente pendant à peine trois jours et ils essaient de s'en prendre à ma famille.

La voix de la femme est à la fois triste et colérique, partagé entre ses deux émotions, elle ne quitte par la robe des yeux.

- que dois-je faire pour mettre mes enfants en sécurité ? Jolie tu ne peux pas savoir combien de fois mon cœur à menacé de lâché sur le chemin,

elle relève la tête et croise le regarde de sa fille, qui est celui de Jennie, mais celui de Jennie est toujours aussi perdue, a la différence qu'elle ressent de la peine pour cette pauvre femme.

- alors ne me rejette pas comme ça s'il te plaît ma chérie.

Devant une telle détresse, Jennie ne peut que se résoudre à « la poignardé avec la broche ». Une larme coule sur la joue de la femme, elle se lève et se dirige vers Jennie puis la prends dans ses bras malgré le fait que celle-ci est fait un pas en arriere. Jennie qui ne veut pas plus la faire pleuré se laisse câliner sans pour autant répondre.

J'ai une conscience ! J'ai une conscience... J'ai une...

- Tu ne sais pas combien je t'aime ma petite chérie, je suis désolé de vous faire vivre cela. Mon Dieu aidez moi, aidez moi à mettre mes enfants loin du sang et de la souffrance.

Du sang ?

Elle ressert son étreinte autour de Jennie qui ouvre les yeux par peur de finir étouffé, ses larmes tombant sur les épaules dénudées de la jeune fille.

Mais je ne suis pas votre fille madame ! arghh c'est psychologique, ils essayent de faire pitié pour ne pas que je me rebelle.

Jennie se sent mal de ne même pas pouvoir rendre à la femme son amour.

- maman ? Oh,

la jeune femme de ce matin interviens dans la chambre et trouve les deux femmes se serrant l'une contre l'autre.

- Oh maman ! Je suis sure qu'elle aimerai t'embrasser mais.. Peut-être une fois habillé ?

- oh bien sure !

La femme se sépare de Jennie, qui garde une expression de surprise sur le visage, avant de prendre le lingue sur le lit, elle demande à Jennie de se retourner.

De toute façon c'est ma mère, elle ne me fera rien de louche.... N'est ce pas ? HEIN?

Jennie obéi a tout ce que demande la dame sûrement parce qu'elle sait que si elle ne le fais pas elle risque de passer la journée toute nue.

Une fois finit, la dame retourne Jennie et la regarde dans les yeux en arrangeant les détails de ses vêtements.

- ça me rappelle des souvenirs de vous bébés

- ah d'accord maman, laisse je vais m'occuper de ses cheveux.

- Oh mes filles sont tellement unies...

Un homme passe par là et jette un regard à l'intérieur de la chambre, un mouchoir à la main.

POURQUOI LA PORTE N'EST PAS FERMÉE ?! C'est qui ce pleurnichard ?

La mère rigole un peu puis sort en refermant la porte pour le plus grand bonheur de Jennie.

- Ne relève pas, maman traverse beaucoup de chose en ce moment et... Parfois il y a des moment où ça la dépasse, elle a parfois besoin de se laissé aller, viens là.

La jeune femme de ce matin demande a Jennie se venir s'asseoir devant la coiffeuse pour pouvoir la coiffé comme convenu.

- Et qu'est ce qu'il lui arrive ?

Finit enfin par dire Jennie après presque une heure de silence.



.... Okay les amisss! je vous dit normalement a Mercredi! Kiss!

Marry Me to SurviveOù les histoires vivent. Découvrez maintenant