L'heure de la vengeance à sonnée

Chapitre 4

(Voilà un nouveau chapitre, j'espère qu'il va vous plaire, avant de commencer, je voulais vous prévenir que toutes les conversations fourchelangue seront entre ¥ ¥ la seule différence est que lorsque ce sont les autres qui parlent l'écriture sera en gras et en italique et celle d'Harry seulement en italique. Voilà bonne lecture.)

Une fois sortis de la banque avec mes achats, qui ont été allégés grâce à un sort, apparemment jeté par les gobelins pour que ça soit aussi léger qu'une plume afin de ne pas aggraver encore plus mes blessures, bon, c'est le fait que je force sur mon corps pour marcher et rester debout toute la journée qui les aggrave aussi, mais j'ai l'habitude de ça.
Je me balade en repérant les différents magasins où je devais me rendre obligatoirement.

Je repaire un peu plus loin la boutique de baguette de chez Ollivander, je le sais puisque c'est sur la pancarte.

Je m'y rend donc en essayant d'avoir le moins de contact possible avec les personnes qui m'entourent, je suis déjà assez assailli par les pensées de tous les passants et le bruit qui m'entoure, je n'ai pas besoin d'être touché en plus.
Il y a vraiment beaucoup trop de personnes, j'en ai un horrible mal de crâne, vu le bruit je suis moi-même étonné de ne pas avoir fait de malaise encore une fois.

Enfin bon je rentre donc dans la boutique, une petite clochette signale ma présence à la seul personne présente.

Ah un nouveau client.
Ah mais c'est le jeune monsieur Potter.

Je comprends toujours pas pourquoi tout le monde a l'air de me connaître ça devient un peux saoulant.

"Ahhhh je m'étonnais de ne pas vous avoir encore vu monsieur Potter, j'ai l'impression que c'était encore hier que votre père et votre mère sont venus m'acheter leurs première baguette.
En voici une."

Il m'a tendu une baguette que j'ai prise en main je doit faire quoi ? L'agiter peux être. C'est ce que j'ai fait et ça a fait tomber des boites, je l'ai reposée sur le comptoir, cette baguette ne me convient pas.

Apparemment non je vais en chercher une autre tien celle là peut être...oui il faut essayer.

"Peut être celle-ci."

Je l'ai prise et l'ai agitée et j'ai littéralement fait exploser un vase, non pas celle là non plus.

"Non non certainement pas."

Il m'en a fait essayer une autre puis encore et encore d'autres, j'ai du en essayer au moins une trentaine et sa boutique était un foutoir après sa. Je me sens un peux coupable j'ai saccagé sa boutique.

Mais oui j'aurai du y penser plus tôt de tout façon c'est les seules qu'il me reste

Il a disparu pendant quelques minutes et est revenu avec deux baguettes. Je me sens immédiatement attiré par les deux si bien que les baguettes ont quittées d'elles mêmes les mains d'Ollivander pour se poster devant mon nez, lorsque j'ai approché ma main il y a eu une forte lumière et les deux baguettes ne formait plus qu'une.
Je l'ai prise et une forte chaleur c'est diffusée en moi c'est comme si une personne particulièrement réconfortante me prenait dans ses bras et me protégeait de tout j'ai même l'impression que les voix dans ma tête et le son qui m'entoure sont beaucoup moins présent sur le moment.

"Étrange vraiment très étrange."

Quoi qu'est-ce qui est étrange exactement ?

"Il est étrange que se soit ces baguettes là qui vous conviennent monsieur Potter surtout lorsque que l'on connaît leur histoire. Voyez vous l'une d'elle est la baguette que l'on appelle la baguette de la mort un de vos ancêtres Peverell a demandé cette baguette à la mort elle même et elle est particulièrement puissante. Plus puissante que n'importe quelle baguette elle a été crée grâce à du bois de Sureau et un cœur en Crin de sombral et fait 38 cm.
L'autre est faite en bois de houx et mesure 27,5 cm. Je me souviens de chaque baguette que j'ai vendue monsieur Potter et il se trouve que la plume de Phoenix qui constitue le cœur de cette baguette a fourni une autre plume, une seul autre plume.
Il est étrange qu'elle vous ait également convenue lorsqu'on sait que sa sœur vous a fait cette cicatrice."