un pas entre haine et amour

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Ça à commencé simplement. Voila plusieurs jours que je le voyais, en vidéo, en photo, j'en entendais parler partout. C'était une véritable obsession pour absolument tout le monde. Et moi, Kaneki, jeune adolescent qui se cherche au milieu de cette société pourrie, j'en ai toujours eu plus que marre d'entendre parler sans cesse de ce garçon. Parait-il un jeune homme de presque la trentaine, criminel rechercher mais que tout le monde adore par sa force et son originalité durant les combats qu'il mène contre les forces de l'ordre. Sa motivation à tuer et voler ? j'ai beau me creuser la tête je ne la trouve pas, et j'avoue de je m'en contre fichait. Ce gars m'énervait, rien que d'entendre son nom cela me donnait envie de le frapper. Hisoka Morrow.

Cependant un jour de lycée tout à fait normal, pendant mon année de seconde, un évènement insupportable se produit.

Comme tous les jours je rejoignais mon meilleur ami Kurapika dans la cours, et ce jour là il y avait un grand rassemblement d'élève au centre de la cours. Super curieux je me faufilai au milieu de la foule dans l'espoir d'arriver au premier rang et la surprise : Hisoka ! pourquoi un criminel aussi réputer et rechercher se trouvait dans la cours de mon lycée !? à ce moment là je me fit brutalement bousculer par la police et tombas sur la tête.

A mon réveil Kura était penché au-dessus de moi. Et il m'expliqua que ce n'était pas le véritable Hisoka, que c'était un prof qui voulait faire une blague. Je lui demandais s'il était sur ? qu'il lui ressemblait vraiment.

K – dis donc si je te dis que c'est un prof tu peux me croire, en quoi ça t'incite autant d'étonnement toi qui le déteste mdr

C'est vrai ça, depuis quand je me posais des questions à son propos et comment ai-je fait pour être si persuader que c'était bel et bien lui ?

Et en me relevant et en sortant de la chambre de Kura, je faillis retomber dans les pommes quand je vis sortir de la salle de bain, un homme complètement nu portant seulement un caleçon. Avec la vapeur qui sortait de la salle je ne vis pas son visage et quelle fut ma surprise quand je reconnu ce visage fin, ces pommettes tranchante, ces yeux doré perçant et ces cheveux roux sauvage.

Moi – Kura ! qu'est ce que cet enfoiré fait chez toi putain !!!!

H – enfoiré ? tu n'y va un peu fort ?

K- Ken je peux t'expliquer ......

Moi – encore heureux que tu vas m'expliquer ! quant à toi éloigne toi vite de nous et fait gaffe à pas faire de mouvement déplacer sinon j'appelle la police !

Kurapika m'expliqua alors la raison de pourquoi il vivait seul depuis tout ce temps. Il me raconta sa famille assassiné par l'araignée, un groupe dont Hisoka devait faire partie mais qu'en réalité il n'en faisait parti que pour tuer leur chef. Alors Hisoka et Kura avait passer un marcher pour arriver tous les deux à leur fin. Hisoka avait donc emménager avec Kura pour préparer leur plan. J'avoue que découvrir déjà que mon meilleure ami était une sorte de meurtrier vengeur et qu'il coopérer avec le gars que je supportais le moins sur terre m'a quelque peu chamboulé. Alors j'ai remercié Kura de m'avoir laissé me reposer chez lui après mon malaise dans la cours et je suis parti pour rentrer chez moi.

Tout en marchant dans la rue en ce soir de printemps, j'avais une sensation étrange, comme si j'étais suivi. Cela devait surement être mon imagination, mais cette sensation continuer et s'est amplifier quand j'ai quitté la rue principale pour prendre un raccourci dans une petite ruelle. Ça s'est passé très vite, je me suis fait projeter contre le mur, bloquer je ne pouvais plus bouger, un bandeau avait été mis sur mes yeux je ne pouvais rien voir. Soudain je sentis un souffle chaud contre mon cou et une voix se mit à me chuchoter à l'oreille : « un jours, je te le jure, ça sera toi et moi dans une chambre. Et à ce moment-là j'aurai choisi entre mon envie de te trancher la gorge ou de te monter au septième ciel ». Et cette personne disparue, me laissant debout contre le mur, les yeux bandés, complétement déboussolé. En rentrant chez moi, je n'avais pas du tout faim alors je suis allé me coucher. Et dans mon lit, allongé sur le dos en regardant le plafond, je me suis rappelé les mots que la voix grave et sérieuse de ce pervers psychopathe. Une voix d'ailleurs que j'avais déjà entendu, mais impossible de me rappeler. Ce jours-là j'avais frôlé la mort ou le viol, et pourtant quelque chose de bizarre se passait en moi, je n'avais pas peur. Je m'endormis un peu plus tard.

comme quoi entre haine et passion il n'y a qu'un pasOù les histoires vivent. Découvrez maintenant