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Y/N: Donc à t'entendre je n'ai pas le droit de savoir des choses sur toi et tes copains mais vous savez absolument tout sur ma vie. Super l'ambiance.

Sanzu: Remercie nous plutôt, on aurait pu te tuer à la seconde où on t'a trouvé et se démerder seuls pour le reste. On te garde en vie pour quelque chose et tu connais désormais la raison. Alors au lieu de me casser les pieds, tais toi et fais ce que je te dis.

Tu hochais de la tête, en suivant le rose après cette réunion qui te passait au dessus de la tête. Tu voulais juste les aider, et rentrer chez toi après ça. Mais tu étais au courant que si tu faisais n'importe quoi, tu finiras 6 pieds sous terre.

Sanzu se mettait à rire d'une façon pas très rassurante en te voyant lui obéir comme un petit toutou, alors qu'il passait ensuite son bras autour de ta taille.

Sanzu: On va sortir un peu dehors, tu essayes de t'enfuir, je te tue sous le champ. Et je m'en fous qu'il est des personnes autour de nous, compris ?

Tu hochais à nouveau la tête, alors que ce dernier posait sa veste sur tes épaules et t'invitait à le suivre. Tu savais que son geste n'était pas affectueux, une femme morte de froid ne servirait pas à grand chose.

Lorsque vous sortez tous les deux, le soleil te brûla quelques instants les yeux, cela faisait presque une semaine que tu avais kidnapper et enfermée dans le noir comme une pauvre chose.

Y/N: Bon dieu ça brûle les yeux. Mais au fait, où allons-nous ? Je pourrais au moins savoir ça, j'ai pas en vie de finir dans une ruelle à moitié morte. Surtout en ta compagnie faut que je m'inquiète.

Sanzu: Ne t'en fais pas pour ça ma douceur, je ne vais pas encore te tuer mais ça arrivera peut-être la prochaine fois que nous sortirons ensemble. Tu étais plus obéissante il y a quelques années ma Y/N.

Tu lui jettais un regard noir, avant de souffler un bon coup. Tu n'avais aucunes chances contre lui, tu n'avais rien et lui il était armé jusqu'aux dents. C'était peine perdu d'essayer de faire quoi que ce soit.

Au bout d'une vingtaine de minutes de marche, vous arrivez devant un bâtiment qui n'avait pas l'air non plus très bien fréquenté. Il te prenait par les hanches, et rentrait à l'intérieur. Il te chuchotait quelques mots, comme quoi que si tu parlais pendant cette rencontres tout sera fichu.

Vous finissez devant plusieurs hommes habillés de noir de la tête aux pieds, armés et pas très commode.

Homme inconnu: Sanzu, je t'attendais. Qui est cette douce femme à tes côtés mon cher ami ?

Sanzu: Ma petite amie, désolé pour toi le vieux mais elle est déjà prise. Je te présente Y/N, elle fait partie du Bonten. Alors n'osez pas la toucher.

Homme inconnu: Très bien, je ne toucherais pas à ta femme. Mais parlons plutôt affaires. Je pensais qu'on avait conclu un accord toi et moi sur nos terres, n'est-ce pas ?

Tu voyais à tes côtés, Sanzu froncer des sourcils alors qu'il te gardait un peu derrière lui au cas où si cette situation se dégénère.

Sanzu: Aucun hommes eu Bonten est allé sur ton territoire, que veux-tu dire par là ? Nous avons toujours respecté notre marché.

Le vieillard faisait un signe et voilà qu'une vingtaine de flingues étaient dans votre direction, tu posais tes yeux sur Sanzu un peu effrayé par ces hommes qui pouvaient tirer n'importe quand alors qu'il te faisait un signe que tout allait bien et que tu devrais ne plus bouger.

Sanzu: Le vieux, tes hommes ne rassure pas vraiment ma copine. Baissez vos armes quand il y a une Lady, c'est la moindre des choses à faire.

Le vieux grimaçait avant de dire à ses hommes de baisser les armes alors qu'au fond de toi tu pouvais enfin respirer comme il le fallait.

La rencontre se termina sur de bonnes bases, mais quelqu'un à nouveau ne respectait les règles du marché. Il prendrait fin et ça sera la guerre entre les deux gang. Tout ce que le bonten voulait éviter, c'était tout de même de bons alliés pour anéantir les russes.

Y/N: J'ai failli faire un arrêt cardiaque. Mais il a parlé de quelqu'un qui n'a pas respecté les règles du marché, tu crois savoir qui a fait ça ?

Il hocha la tête positivement, en continuant de te garder près de lui par précaution pour pas que tu puisse t'enfuir alors que tu regardais le vide.

Y/N: Je ne devrais pas te demander ça, mais pourquoi notre relation a finit ainsi ? Tout se passait bien avant que tu finisse complètement dans la drogue. Qu'est ce qui t'a changé autant ?

Sanzu: Je ne te dirais pas ce qui m'a changé, car j'ai toujours été ainsi ma douce. Depuis gamin je suis fou, alors arrête avec tes questions débiles. Tu ne retrouveras pas mon "ancien" moi comme tu le dis. Car il n'a jamais exister ce Sanzu que tu aimais tant.

Tu soufflais en continuant de marcher à ses côtés jusqu'au QG principal du Bonten. Quelques hommes de ce gang t'emmenait à ta nouvelle chambre en disant que tout était là et que tu ne manquerais de rien.

Des vêtements étaient dans l'armoire, c'était une chambre assez spacieuse mais au final ça ressemblait plus à une prison. Tu ne pouvais pas sortir sans l'un des hommes importants dans cette industrie criminelle, tu devais juste rester dans ta chambre quand ils n'avaient pas besoin de toi.

Au final ça t'arrangeait, tu n'arrivais pas à blairer certains hommes ici. Et vu que tu étais la seule femme parmi une centaine d'hommes, tu devais te tenir à carreaux.

Tu étais la pauvre chose de ses hommes inhumains. Aucunes sorties pour t'échapper, tu devais juste les obéir pour ta propre survie si tu sortais un jour.

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J'espère que le deuxième chapitre est toujours à votre goût, n'oubliez pas de laisser un petit commentaire de vos avis ! C'est important et je mettrais peut-être quelques idées à vous dedans qui sait ? Sur ce, on se voit au prochain chapitre ! Saluuut !! <3

𝑚𝑦 𝑘𝑖𝑑𝑛𝑎𝑝𝑝𝑒𝑟 | 𝚜𝚊𝚗𝚣𝚞 × 𝚛𝚎𝚊𝚍𝚎𝚛Où les histoires vivent. Découvrez maintenant