𝑚𝑦 𝑘𝑖𝑑𝑛𝑎𝑝𝑝𝑒𝑟 | 𝚜𝚊𝚗𝚣𝚞 × 𝚛𝚎𝚊𝚍𝚎𝚛

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Cela fait plusieurs jours que tu venais de te faire kidnapper, tu étais toujours à la même place. Plusieurs hommes étaient venus te voir pour avoir des renseignements mais tu ne comprenais pas ce qu'ils voulaient réellement savoir. Et leur chef tu n'avais toujours pas eu l'occasion de le voir et heureusement d'un côté.

Leur chef était un certain Manjiro Sano, ou plutôt appelé Mikey. Puis tu voulais revoir cet homme, pour être sûr de savoir si c'était vraiment l'homme qui était mort devant tes yeux il y a quelques année de ça.

Tu voulais savoir si c'était bien sûr Sanzu Haruchiyo, ton ex qui était censé être mort il y a de cela 3 ans maintenant. Depuis tu fuis sans arrêt des hommes qui essayent de te retrouver mais tu en savais pas la cause. Est-ce les mêmes hommes ?

Un homme arrivait vers toi, puis s'accroupissait pour être à ton niveau avec un sourire de psychopathe sur ses lèvres.

...: Comment on se retrouve Y/N, je t'ai manqué j'espère ?

Y/N(toi): Sanzu détache moi c'est en aucun drôle, tu es censé être mort toi qu'est ce qui tu fiches ici ? Et je suis où ??

Sanzu: Pourtant depuis 3 ans, je te suis et tu ne m'as jamais remarqué. Quel triste vie, mais bon passons. Tu vas devoir nous suivre maintenant ou on te tuera, à toi de décider ma douce.

Y/N: Arrête avec ce surnom, et pourquoi je devrais vous suivre. Vous me kidnappez et vous croyez sincèrement que je vais vous suivre ? Non mais sérieusement les gars j-

Tu n'avais même pas le temps de finir ta phrase, que quelqu'un ou plutôt quelque chose frappa ta tête ce qui te faisait cracher une marre de sang puis l'un des hommes te prenait par les cheveux pour le regarder.

...: Je t'ai pas demander ton avis. Tu vas bien nous suivre sinon tu meurs là maintenant.

Sanzu: Alala ma douce, je te présente notre chef Mikey. Sacré rencontre quand même.

Tu jettais un regard noir à Sanzu avant de regarder droit dans les yeux, le chef du gang, en souriant comme si tu attendais qu'il te tue comme il te menaçait depuis tout à l'heure. Mais rien, il ne faisait rien.

Y/N: Et en quoi une simple femme comme moi puisse vous aider ? Je suis personne dans ce monde, alors qu'est ce que me voulez-vous ?

Mikey: La mafia russe en a après toi, je ne sais pour quel raison mais d'après Sanzu tu caches un lourd secret qui pourraient les détruire, alors tu vas bien rester sagement avec nous jusqu'à qu'on puisse en finir avec eux. Compris ?

Mikey donnait ensuite des ordres à ses hommes pour que ces derniers te trouvent des fringues et te donne une bonne douche après ces plusieurs jours, tu empestais tel un rat mort.

Lorsque tu étais dans la salle de bain en train de prendre une bonne douche, en grimaçant à cause de tes blessures. Sanzu était là, à te surveiller sous les ordres de son chef.

Y/N: Tu vas vraiment rester là à me mater pervers ? Je vais pas m'échapper, je ne suis pas aussi suicidaire que ça.

Sanzu: Mais ma douce, ce n'est pas la première fois que je te vois nue. J'avais oublié à quel point il me faisait de l'effet.

Il avait dit ça en riant, tout en gardant ses yeux sur toi. Puis il te jeta une serviette à la tête pour te sécher lorsque tu sortais de la douche. Alors qu'il avait aussi passer des fringues, ou plutôt une robe pas très décontracté. C'était une robe qui moulait bien le corps, mon dieu dans quel galère tu t'es encore mise Y/N.

Sanzu: Aller enfile ça sans discuter, le boss t'attends miss. T'inquiète pas cette robe t'ira comme un gant, je me souviens parfaitement de tes mensurations.

Après cela, il soignait tes blessures puis attendait que tu finisse de t'habiller pour t'emmener par la suite à une réunion du gang. Tu voyais plusieurs autres hommes que tu n'avais pas vu à l'endroit où tu étais, certains étaient habillés d'une certaine façon charismatique. Alors que tu recevais une légère tape derrière la tête de la part de Sanzu.

Sanzu: Arrête de baver sinon tu veux pas crever. J'étais peut-être doux dans le passé mais crois moi maintenant je n'hésiterais pas à te foutre une balle dans ta tête.

Tu hochais la tête avant d'écouter ce qui se passait dans la salle, une guerre avait été déclaré il y a quelques années entre le bonten et la mafia russe. Des morts dans les deux camps mais maintenant vu que tu étais la clé de la destruction de la mafia russe, le bonten allait pouvoir enfin gagner après toutes ses années.

Tu avais été mise sous la protection de Sanzu, comme ce dernier était celui qui te connaissait le mieux. Tu allais devoir suivre tout ce qu'il allait te dire durant les prochains mois ou années à venir.

Y/N: Fallait vraiment que je porte la poisse pour tomber sur toi, mais bon est-ce que je serais libre après que tout soit fini ?

Sanzu: Si c'était moi qui décidait, je te garderais à mes côtés pour que tu puisse ne rien révéler au monde entier et tu seras ma pauvre petite chose.

Y/N: J'avais oublié à quel point tu étais con, mais bon ravi de te revoir. Et pour répondre à l'une de tes nombreuses questions, tu ne m'as absolument pas manqué au contraire c'était le paradis sans toi.

Sanzu avait été ton premier amour, fallait pas être très net pour sortir avec quelqu'un comme lui mais tu l'avais aimé. Ce dernier avait réussi pendant quelques temps à te faire goûter la vie à pleine dents, avant qu'il finisse réellement par devenir fou puis mourra enfin c'est ce que tu avais cru pendant 3 ans.

Y/N: Comment as-tu fais pour survivre à tout ça ? Je t'ai vu prendre une dizaine de balles, c'est techniquement impossible de survivre à ça car tes organes étaient touchés. Bon au final si tu me dis que tu es un être surnaturel je ne serais même plus surprise.

Sanzu: Les frères Haitani m'ont trouvés comme par hasard alors que ça faisait un moment que je n'avais plus de leurs nouvelles et puis voilà j'ai survécu mais le reste ne te regarde pas miss.

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Voilà le premier chapitre, j'espère que ça vous aura plus car en vrai j'écris au feeling mais je ne sais pas si ça va rendre très bien ce que j'écris actuellement mais on fera avec haha. Dites moi ce que vous en pensez réellement, donnez quelques conseils (de bons conseils merci) et les critiques je les enlèverais, flemme de laissez les gens critiquer mon travail alors qu'ils arriveront même pas à faire la même chose.