L'ennemi est parmi nous

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Les protocoles de déminage et sanitaire étant lancé : les portes, les fenêtres et tous les issues de la mosquée furent fermé et les gens se trouvant à l'intérieur se sont calmés et l'Imam profita de ce moment pour enfin terminer son Houtebat.

Vu la gravité de la situation, Le Chef de renseignement appela les Chefs de différents corps qui étaient sur les lieux pour qu'ils discutent et élaborent un plan qui se basera tout d'abord sur la
sécurité de la mosquée aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur, analysés les types de virus signalé, localisés où se trouvait la bombe et la neutraliser à temps.

Après une longue discussion, des équipes de snipers furent installés dans tous les angles morts, une équipe d'agent du service sanitaire se sont introduit à l'intérieur escortés par des groupes de forces spéciales de la brigade antiterroriste, une équipe de démineur appuyée par des sections des forces spéciales de la Gendarmerie et de la Police et le reste des agents faisaient des patrouilles, des contrôles et des inspections dans les voisinages.

Pendant ce temps les Chefs se sont assis sous une tente verte montait à côté de la mosquée pour contrôler l'exécution des différentes missions données.

Après un petit moment on entend au niveau de la station radio du poste de commandement:

- Echo Delta, nous avons cherché partout et nous n'avons trouvé aucune trace de bombe, disait l'équipe de démineur qui communique avec leur
radio message et peu après:
- Echo Sierra, nous avons fait des analyses et des inspections sur
chaque individu ici présent et nous vous confirmons qu'il n'y a pas de virus à l'intérieure, annonça l'équipe sanitaire.

Le Chef de Renseignement se fâcha une fois entendu ces deux informations et frappa son point sur la table en disant:
- Bandes d'incapables, je trouve tous ces comptes-rendus faux, on n'a pas le droit à l'erreur.

Et il arriva à intimider les Chefs des Corps comme quoi s'ils laissent leur hommes sortir de la mosquée sans être vraiment sûr de l'exactitude de leur comptes-rendus, ces derniers seront sévèrement accusés de complicité et de haute trahison.

Ceci poussa tous les Chefs de corps a déployé tous leur hommes à l'intérieur de la mosquée pour une inspection générale d'une trentaine de minute.

Le chrono fut lancé et le Chef de Renseignement se trouva seule tranquillement sous la tante, assis, jambes croisées et posées sur la table en écoutant de la musique local et en fumant sa cigarette.

- BOUM!! BOUM!! Deux grandes explosions étourdissantes retentissèrent et puis après des échanges de coups qui ont durés presque cinq minutes.

Tellement les échanges de coups étaient bruyants qu'on arrivé à faire une différence des différentes armes en fonction des bruits des cartouches, mais c'était difficile de localiser d'où venait exactement les échanges de coups.

- Ça vient du centre-ville tout
prêt de la BCE ? Merci on arrive,
dit le Chef de la Police qui était au téléphone avec un collègue se trouvant au centre-ville et renda compte directement et discrètement au Chef
d'Etat Majore Générale (CEMG) sans que le Chef de Renseignement (CR) le sache.

Le CEMG prennant le commandement à travers sa radio annonça:

toutes les unités: Police, Gendarmerie et la Brigade Antiterroriste tout près du centre-ville, tout le monde dans son véhicule, en position de combat, formation en colonne, dix mètres d'intervalle entre les véhicules, vitesse habituel, direction vers la Banque des Caisses d'Etat, les Chef de Corps soyez prudent...l'ennemi est parmi nous. Basculement au canal de combat, les services sanitaires vous restez sur place...vous aurez
des appuis aériens dans quelques minutes. En avant ! ».

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Buenõs dias nigño or nigña. Que pasa amigos ?

Oui je suis trilingue, sans compter ma langue maternelle🙃 le SHIKOMORI🇰🇲🇰🇲🇰🇲

ANYWAY SO... Vous l'avez trouver comment ce chapitre?🤗

OKI SO I THINK I'M GOING TO STUDY NOW.

Yeah I'm student📚🖊🧠

Alors on se dit à un prochain chapitre.

Je vengerai mon frère Où les histoires vivent. Découvrez maintenant