Chapitre 4 : la voyageuse

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PDV (T/p)

Une heure après avoir quitté la taverne de Diluc. Je vis Venti devant la statue de l'archon anemo. Il était entrain de chanter. Après avoir terminé sa chanson, il alla à ma rencontre.

Venti : Tiens, coucou (T/p) tu as terminé ta sieste ?

(T/p) : Ma sieste...

Je compris quelques secondes plus tard ce qu'il voulait dire, et je rougis en un instant.

Venti : Dis moi (T/p) ?

(T/p) : Oui ?

Venti : Tu es d'accord pour que je sois le témoin à ton marriage avec Diluc ?

Mon visage qui avait pourtant repris une teinte normal redevint rouge.

(T/p) : Mais qu'est ce que tu racontes Venti ? Diluc et moi on est juste amis.

Venti : Bien-sûr... En attendant c'est toi que j'ai trouvé endormie sur son épaule.

(T/p) : Venti...

Venti : Aller avoue que tu l'aimes bien.

(T/p) : Venti !

Venti : Aller je vais rédiger un poème que Diluc devra te réciter... (T/p) tu es si...

Je lui donnai un petit coup à l'épaule

Venti : Aie ! C'est bon j'arrête.

? : Bonjour Venti ça faisait longtemps.

Je me retournai, je vis une jeune fille blonde aux yeux marrons vêtue d'étranges vêtements. Elle était accompagnée d'une étrange créature volante.

Venti : Oh ! Salut Lumine, ça va ?

Étrange créature volante : Et moi j'existe pas ?

Lumine : Chut Paimon, la nourriture ça ne parle pas.

Paimon : Je ne suis pas de la nourriture.

Lumine : Sinon... Venti qui est la personne à côté de toi ?

Venti : Ah oui je te présente (T/p), (T/p) je te présente Lumine, le chevalier honoraire de l'ordre de Favonius, et Paimon son amie.

Lumine : Ma nourriture d'urgence. Ravie de te rencontrer (T/p).

(T/p) : De même.

Alors c'était elle le chevalier honoraire de l'ordre, celle qui avait sauvé Monsdat. Je dois avouer que je m'attendais à ce qu'elle ressemble à autre chose.

Venti : Et si pour fêter le retour de Lumine on allait boire un verre au cadeau de l'ange.

(T/p) : Comme si que tu avais besoin de ça pour aller boire.

Venti : Roooh, aller (T/p), en plus je suis sûr que tu seras contente de voir Diluc.

Il se reprit un coup de poing sur l'épaule.

Venti : Aïe. Pourquoi tu t'endors sur l'épaule de Diluc et moi tu me donnes des coups de poing.

Je soupirais. On alla a la taverne Diluc. Il serva un vin dent de lion à Venti et une boisson sans alcool pour Lumine et moi. Après qu'il ait avaler une dizaine de verre, il se plaint qu'il avait faim. La voyageuse proposa de cuisiner Paimon ce qui n'avait pas plut. Je décidai donc de cuisiner. Après avoir manger les plats Lumine et Paimon parties avec Venti qui n'était pas bourré pour changer. Je restais donc pour aider Diluc.

Diluc x readerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant