Diluc x reader

Chapitre 18 :

PDV (T/p) :

La nuit était entrain de tomber à nouveau. La taverne était ouverte, mais on pouvait sentir une ambiance plus que tendue, les chevaliers n'était pas ivre mort. J'aidais Diluc à faire le service. Il n'y avait pas le bruit habituelle des bardes qui chantaient. Soudain, Kaeya entra dans la taverne.

Kaeya : (T/p), on a besoin de toi.

(T/p) : Que se passe t'il ?

Kaeya : Tu ferai mieux de venir voir par toi même.

J'ai regardé le tavernier, il me fit un signe de tête, j'ai donc suivi son frère adoptif, qui m'emmena au Q.G de l'ordre de Favonius, dans la bibliothèque. Je vis ma mère assise sur une chaise.

(T/p) : Maman ? Que fais tu ici ?

Mère : Ma petite (T/p)...

Jean : Elle a demandé aux gardes se trouvant aux portes de la ville où est ce que tu te trouvais.

Kaeya : C'est ta mère ?

(T/p) : C'est un peu ce que je viens de dire.

Jean : Est ce que tu vas avoir besoin d'aide ?

(T/p) : Merci c'est gentil mais je vais savoir gérer ma mère.

Même si visiblement elle avait l'air plus que épuisée. Je l'ai aidé à se lever, puis je suis sortie du Q.G. 

(T/p) : Que s'est-il passé ?

Mère : J'ai été forcée à partir de Snezhnaya.

(T/p) : Pourquoi ?!

Mère : Si seulement je pouvais savoir... Où est ce que nous allons ?

(T/p) : Au cadeau de l'ange.

Mère : C'est toujours ouvert ?

(T/p) : Eh oui. Pourquoi tu as connu cette taverne ?

Mère : Eh oui. Elle était célèbre à l'époque, et maître Crepus me gardais toujours le meilleur verre de vin, après que j'avais terminé mes missions pour la guilde d'aventuriers.

(T/p) : Il avait l'air de t'apprécier.

Mère : C'était mon meilleur ami à travers tout Teyvat. J'ai été là première à qui il a  annoncer qu'il avait eu un enfant.

(T/p) : Est ce que tu as emporté des affaires ?

Mère : Je n'ai pas pu, mais le bateau qui m'a déposer à Liyue m'a proposé de m'apporter quelques trucs.

(T/p) : D'accord.

Nous nous sommes arrêtées devant la taverne. Nous sommes entrés, une dizaine de verre était sur le bar.

Diluc : Qu'est-ce qu'il s'est passé ?

Mère : Bonjour maître Diluc, comment allez vous ?

Diluc : Tout va bien, sans vouloir paraître impoli, que faites vous là ?

Mère : C'est une longue histoire...

Elle observa la pièce, avant de s'asseoir sur un tabouret. Venti qui était assis sur celui d'à côté, observa la femme qui m'avait donné vie l'air pensif. Ma mère le regarda.

Mère : Je vous connaît non ?

Venti : Non... Pas que je sache.

Elle fronça les sourcils, c'était clair qu'elle n'en croyait pas un mot, il fallait admettre que la goutte de sueur qui perlait sur le front du barde prouvait qu'il mentait.