Néant

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Retour au lycée le lendemain nous avons Mr. Kasmin prof de sport un sadique dans la peau celui -là quel petit con , bref ! nous allons faire relais vitesse . Il nous ordonne de commençer l'échauffement au bout de 10 minutes je remarque que Rose est déjà très essoufflée pour une jeune fille de son age , moi je commence tout juste à suer . Mr Kasmin nous ordonne de courrir plus vite . Soudain Rose me rattrappe .

- T'es pas épuisée , toi ?

- Si , mais je m'inquiète pour Bonnie elle peine beaucoup à courrir , tu ne trouve pas .

- Ouais , bah ! elle n'a cas se plaindre à Kasmin . Je me retourne pour dévisager notre St Ni-touche , mais quand je me retourne  je vois un attroupement d'élève de notre classe sur quelqu'un ou quelque chose .

- S'est Bonnie ! elle est au sol , elle ne bouge plus . Brayan arrive le premier , il l'allonge sur le coté pour l'aider à respirer , Kasmin aussi acourt et envoye quelque élève apeler les pompiers . Brayan se retire de la foule , pour aller se défouler sur un innocent poteaux , certain de ses copains essaye de le calmer . Il s'écoule des minutes interminable avant l'arrivé des pompiers il enmène Brayan et Mademoiselle St Ni-touche .

Le jour suivant Bonnie était de nouveaux sur pieds , Brayan est plus prévenant  et gentil la plupart du temps avec elle , il ne me parle plus et ne m'adresse aucun regard  . Je décide d'aller lui parler .

- Salut ! Serpent .

- Bon ! dit-il en driblement sa balle de basket qu'est-ce que tu me veux ?

- Je voulais juste savoir comment , tu allais .

- Bah ! écoute tout va bien dit - il froidement .

- Tu n'es qu'un connard , tu joues avec moi et dès que tu es satisfait tu me laisse comme une poubelle c'est ça le grand Brayan Walker , hein ?

- Je ne te laisserais jamais tomber car , tu as une dette en vers moi . Secoundo tu es jalouse . Troisio tu me veux rien que pour toi . Quatro tu n'ais qu'un objet pour moi .

- Je ... je ... suis pas jalouse et je ne te veux pas ...

- Si , tu me désire au plus profond de ton coeur , il s'approche de moi et me susure à l'oreille , tu aimes quand je t'embrasse et te touche , et je peux même deviner que tu deviens fébrile à l'heure ou je te parle . Il attrape mon poignée et ressere son étreinte .

- lâche - moi  ! Lâche - moi ! .... Brayan tu me fait mal .

- Tu es à moi , tu as vendus ta liberté pour quelque panier . me dit-il en lachant mon poignée , et ne recommence plus ça , ta vie et ta liberté est plus précieuse .

- Je ne t'aime pas ! dis - je en l' agressant

Il m'embrasse avec une telle fougue que je m'écroule par terre en reprenant mon souffle . Il s'en va l'air de rien .

- Brayan ! hurlais je s'est pas plutôt toi qui aime ? Il arrête son ballon puis se retourne .

- Qui sait , Darling !

Je suis malade : la maladie du "A"Où les histoires vivent. Découvrez maintenant