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« peu importe l'emprise qu'une ancienne peur peut avoir sur vous elle peut se vaincre »
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Célia : je suis venu te parler de mon fils qui est actuellement ton mari vu que tu portes encore sa bague
J'ai regardé mon doigt et je l'ai regardé
Célia : tu l'as aimé au moins ?
- vous savez très bien que oui pourquoi vous me posez encore cette question
Célia : parce que porter plainte sur un homme qu'on aime bah
J'ai ris nerveusement
- ton fils m'a déjà giflé chez vous tu le sais ça en votre présence à toi et ton mari il m'a donné une claque
Célia : il est malade Reyna et tu le sais
- et c'est sur moi que sa maladie va finir ? Non mais sérieusement t'as pas fait tout ce chemin pour venir me demander de le reprendre et en plus de retirer ma plainte je rêve là
Célia : Reyna il ne pouvais pas lever la main sur toi sans que tu n'ai rien fait tu l'as certainement provoqué toutes ces fois là
Je l'ai regardé
J'ai ris hein
J'ai ris mais d'une manière un rire tellement nerveux que je suis sure qu'elle a eu peur que je pète un câble
Je l'ai regardé encore j'ai encré mes yeux dans les tiens
- est-ce que tu as une idée de ce que j'ai pu subir pendant plus de deux ans entre les mains de celui que tu appelles ton fils ? Tu es au courant du monstre qu'il est ? Est-ce que t'en a conscience?
- t'es une femme comme moi comment tu peux l'encourager Célia ? Tu viens chez moi me dire que je l'ai provoqué pour qu'il me frappe? Tu sais combien d'os brisés j'ai eu ? À combien de chirurgie réparatrice j'ai eu recours ?
Célia : j'ai conscience de tout ça
J'ai retiré ma robe devant elle je n'avais que des sous vêtements en dessous
- regarde bien mon corps non non soulève ta tête ouvres les yeux et regarde moi regarde le bon travail de ton fils sur mon corps
