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Le soleil s'est couché depuis 1 heure sur la ville tentaculaire, et pourtant le métro garde sa chaleur. À la station de Vernet cod , une dame a la frange noire donne un air sévère se penche au bord du quai afin de voir si la rame se approche.Sous une affiche publicitaire pour une émission de télévision,un groupe de lycéens attend.
Ils s'échangent leurs écouteurs et discutent d'un certain Pod-Doid. Celui-ci organise une fête ce week-end dans le quartier d'Echo Park, profitant de l'absence de ses parents partis aider sa sœur aînée à emménager dans une université.

Tu n'entends pas les lycéens rires. Ils ne te vois même pas, allongée sur la voie là où le tunnel disparaît dans l'obscurité.Ce sont les vibrations qui finissent par te faire réveillée, t'es paupière s'ouvrent lentement, tu distingue le plafond voûté.Tu a le crâne comme dans un étau.Tu es couchée sur le dos,entre les rails,parmi les papiers de bonbons et les papiers de journaux. Le klaxon hurle.Un faisceau lumineux éclair le mur couvert de carlage.Tu relève la tête,colles ton menton a ta poitrine,mais ton corps est lourd.Tu ne sens pas t'es jambes,et tu peines a faire pivoter t'es hanches, à bouger , a bouger tout court, malgré t'es efforts pour te glisser dans l'espace étroit situé sous les quai.Tu retombes en arrière épuisée.Soudain ,le métro débouche du tunnel et t'inonde de lumière...





































































































































































































































Le conducteur ta vue. Les crissements des freins se font plus aigus.
Mais il est trop tard ,tu le comprends au moment au moment où vos regards se croisent. La machine te fonce dessus a toute vitesse. Tu n'a qu'une solution.Tu te rallongé, les bras croisés.
D'abord, tout n'est qu'un vacarme, le grincement des roues sur les rails métallique,l bourrasque qui déferle de toi.Le souffle du métro ébouriffée t'es cheveux. Tu fixe le métro passant au dessus de toi , l'odeur te brûlé les poumons. Lorsque la rame s'immobilise enfin, il te faut quelques secondes pour t'en rendre compte, tu est toujours étandue la, a quelques centimètres au dessus du métro. Tu es toujours en vie.
Sur le quai,tandis que le conducteur descend de sa cabin, la femme a la frange noir n'en croit pas c'est yeux.Son visage est inondé de larmes.

(Femme a la frange noir)- Il y a une fille, la dessous ! Vous n'avez pas vu.. ? Il y'a une fille !

Le conducteur n'a qu'une pensé

(Pensé conducteur)- <<Elle était allongée, elle ne pouvait pas bouger, que fesait t'elle la ?>>

En 26 ans de métier, c'est le huitième voyageur qu'il voit passé sous c'est roues , mais les précédentes était différente. Certains étaient resté debout devant lui, d'autres s'étaient jeté en travers des voies, d'autre encore avait chuté et tentais de remonte. Elle,elle était seulement couché sur les rails.

(Conducteur)-<< Très bizzard...>>

Tu entends la femme, sa voix déraille.Un homme tente a la réconforter.Des ombres ce déplacent dans l'interstice qui séparent le métro du bord du quai.Une  sonnerie retentit, des gens se pressent, ou s'interrogent. Tu entends le conducteur

Conducteur- Tu est blessé ?

A la première vue , a la façon dont ça dégouline sur ton avant-bras  et imbibe ton tee-shirt ,  le sang est foncé, presque noir.Mais tu ne ressens aucune douleur,juste une sensation de brûlure, comme si tu étais collé à un radiateur.

-Je vais bien , tu répondit.

L'entaille mesure plus de 10cm , elle ne semble pas très profonde. Le conducteur discute avec un collègue pour déterminer s'il faut faire reculer le métro. Ils contactent leur central par radio afin de demander un autre avis, pendant que la femme a la frange noir appele les urgences et décrit comment et ton état . Tu a l'impression que tu est piégée la pour toujours. Contempler le dessous du métro te donne envie de hurler mais au lieu de ça tu ne fis que fermé les yeux..

Au bout d'un. Moment tu entend les sirènes des voitures de police et d'urgence , finalement le train ce retire , deux hommes en uniforme sautent sur la voie avec une civière , sur laquelle ils t'allongent ,et tu sens a nouveau t'es jambes

Secouriste- Qu'es qui c'est passé ? Comment tu t'es retrouver la ?

Tu jette un coup d'œil à ta tenue vestimentaire, tu ne reconnais pas ton corps , Ton tee-shirt est inondée de ton sang , tu porte un jean noir et des chaussures neuves. Les lacets sont d'un blanc immaculé.

- Je ne sais pas  , réponds-tu, incapable de déterminer l'heure qu'il est où le jour de la semaine, de te mémoriser le moindre souvenir de ta vie.
Seul ce moment existe..

Secouriste- Tu ne sais pas ?

L'autre infirmier est un homme, au bras droit tatoués. À la vue des deux crânes autour desquels s'enroule des roses
Ils hissent la civière sur le quai, puis l'un d'entre eux sort une mallette de soins

- Je n'ai rien , répète tu en regardant l'escalier roulant qui se trouvé a quelques centimètres
C'est la seul issue...

Une secouriste prend une lampe de poche vers t'es yeux ,puis dans ta bouche , tu t'assois , descends du brancard en te tortillant et pose t'es pieds sur le ciment.

- je n'ai pas besoin d'aide , affirme-tu , Je n'ai rien tu répètes encore

Secouriste- Non tu a besoin de te reposer, comment tu t'appelles ?

Un attroupement s'est formé autour de toi et tu entends presque le souffle des curieux qui attendent ta réponse.
Tu a beau te creuser la cervelle, rien ne te vient , Tu ouvre ton sac et fais semblant de savoir ce qu'il contient.
Eau et nourriture, un tee-shirt de rechange, un canif rouge,ainsi qu'un tas d'objets enfouis plus profondément. Mais plus profond tu t'empares d'un petit carnet noir auquel fixé un stylo.Dont un papier scotché disant:

Ne Contacte pas la police, quand tu seras seule, appelle ce numéro 818-555-1748

[A NE PAS COMPOSÉ CE NUMÉRO S'IL VOUS PLAÎT , JE L'AI INVENTÉ, Merci]

Tu te lève, contourne les secouristes stupéfait , passes devant la foule et t'enfonce dans la station éttoufante.

Infirmier- Tu ne peut pas t'en aller comme ça ! Reviens , retenez la ! Elle a pas les idées au clair !

Tu franchis le tourniquet.encore étourdie, tu montes l'escalator.Tu n'aperçois pas le bout des marches. Tu cour, quelques personnes t'interpelle, un inconnu te suit, criant que tu devais te reposer.

Inconnu- Ne pas pas, attend ! Reste la !

Le temps presse. Lorsque tu sors enfin,des voitures de police arrivent au carrefour et se garent le long du trotoir.
Des plaques de rue indique le nom de
Vernet cod. Tu vois des immeubles, des bureaux, des boulangeries. Qu'elle direction prendre  ? Tu a besoin de réfléchir.., de comprendre pourquoi tu es là , tu dois appeler le numéro inscrit sur le carnet..
Tu te retourne, le secouriste Tatoué et entrain de parlé au policier . Lorsque l'agent fait quelques pas rapides vers toi , tu te décide,puis tu part a toute jambe.

A suivre..

𝑇𝒉𝑒 𝑟𝑒𝑑 𝐸𝑦𝑒  𓁹      Où les histoires vivent. Découvrez maintenant