nous dansions sous le soleil,
comme si les rayons de notre amour ne s'atténuaient pas.
j'aurais aimé inspiré tes écrits,
inspiré l'air sous ce soleil dansant,
je n'ai fais que suffoqué ;
à travers tes poumons,
à travers tes suçons,
à travers toi, à travers nous,
de travers.
Les rayons du soleil se glissent sous tes yeux et embrassent tes clavicules, ton cou violet ne fait que m'accuser et le goût désagréable de culpabilité ne sait me parvenir, je ne peux que te regretter, la lumière peint des couleurs sur ton visage doux, de quoi me rendre saoûl de toi, d'uniquement toi, vois-tu je ne peux savoir qu'elle est la couleur de ce soutien-gorge enlevé si vite, et tout cela m'effraie, l'inconnue m'effrait, toucher tes mains en signe de confiance me manque et je ne peux oublier ton parfum. Un parfum déléctable qui m'arrache le coeur quand j'aperçois une gamine dans le metro qui s'asperge de cette même odeur.
Les rayons du soleil traversent le volets et viennent crée des lignes dorées sur ton corps, je ne peux que suffoqué, je ne sais plus danser comme on en avait l'habitude, tu me manques d'une manière que je ne sais expliquer et le paterne ecoeurant que tu m'as offert en t'assoupissant n'est ni liant ni brutal.
j'inspire à ce que tu sois cette pensée qui me maintient et me fait continuer d'essayer.
