Chapitre 8 :

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Paroles

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Point de vue de Harry :

L'orphelinat était relativement grand.
C'était un vieux bâtiment datant du XIV ème siècles.

La directrice de l'orphelinat m'accueilli avec froideur et d'égout dès qu'elle me vit en face d'elle.
Je me doute bien que s'est mon apparence étrange qui est a l'origine de son comportement.

Je vous ai dit que je portais des ailes ?
Non ? pas grave...
De toute façon elle se rétracte dans mon dos donc je ne suis pas gêné pour dormir avec elle et je peux le faire apparaître comme je veux.

La directrice m'installa dans une mansarde pour domestiques au grenier car elle n'avait plus de place dans les chambres d'orphelins.

Je la soupçonne plutôt de ne pas vouloir as-ce que je contamine c'est petit chéri d'orphelins !
Mais bon je vais pas me plaindre c'est bien meilleur qu'un placard sous l'escalier !

La mansarde était poussiéreuse avec un lit et une vieille commode.
Il y avait une fenêtre avec une vitre, cassée à certains endroits.
Sur le sol un tapis marron, moisi et qui sentait le fromage.

Je vous jure que ce tapis sens vraiment le roquefort ! C'est horrible !

À gauche du mur se trouvait une armoire avec qu'une seule porte.

Ils me donnèrent des vêtements usés. À ma taille cette fois !

Pendant une année je fus pas bien accueilli par mes colocataires orphelin, j'ai été traité comme un monstre et utilisé comme un souffre-douleur pour les plus âgés.

Heureusement, lors de mes 5 ans, tout changea un homme à la peau noire, en manteaux tout aussi sombres, avec le crâne chauve et un œil en moins, apparu dans ma vie.
Il se déclara comme le cousin de ma mère !

Incroyable, pour une fois que j'ai encore de la famille, je me retrouve avec un oncle en vie !

Il se nomme Nick Fury !

Drôle de nom, en plus de cela il ressemble à un pirate !
Il manque plus que le crochet et le chapeau sur la tête et ce serait parfait !

Il entra dans ma chambre en passant devant la vieille bique.

Directrice : Mr Fury, voilà votre neveu vous devriez faire attention à ce petit monstre, il va vous attirer que des ennuis !

Je ne peux pas la contredire, mais ce n'est pas de ma faute si les ennuis me cherche et me suit partout où je vais !

Je vis Fury froncer des sourcils et fusillés du regard la directrice aux mots qu'elle prononça et moi je baissa la tête et commença à fixer mes chaussures assis sur mon lit.

La directrice sortant de ma chambre et me laissa avec lui.

Personne ne parler, c'était le silence total jusqu'à ce que Fury s'approcha et se mit à genoux devant moi.

Il souleva mon menton et me dit en soupirant.

Fury : Petit ? Ne prends pas au sérieux les dires de cette femme, garde la tête haute et reste fière de ce que tu es, tu n'es pas un monstre !

Je releva la tête et le regarda dans les yeux, il n'y avait pas de pitié dans ses yeux c'était rassurant...

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La suite la prochaine fois !

Une expérience scientifiqueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant