LIVRE 1 L'accord parfait (Omégaverse)

Chapitre 26

Aaravos surpris Noatak devant le miroir de la salle de bain en train de regarder son ventre les sourcils froncé. Il l'observa un moment sans rien dire. Tant que l'oméga ne l'avait pas remarquer, il ne ferait pas signe de sa présence. L'inuit tentait de grossir son ventre, puis le rentrer le plus possible.

"Qu'est-ce tu fais?"

Noatak fit le saut et se tourna vers l'alpha qui le dévisageait.

"Je ne sens pas le bébé."

"Tu es à deux mois de grossesse. Laisse toi le temps."

"Mais et s'il était mort? Et si j'avais fait une fausse couche sans m'en apercevoir?"

"Tu as vu le médecin il y a deux semaines et tout était beau selon lui."

"Mais..."

"Noatak, inutile de t'inquiéter."

"Mais..."

"Noatak, je sais que tu tiens à ce bébé. Mais tout va bien. Nous sommes à 100% compatible. Les risques de complication sont quasiment nul."

L'oméga baissa son regard au sol.

"Je veux que tout soit parfait pour mon bébé."

"Et tout le sera. Maintenant, je peux aller pisser?"

Il hocha la tête avant de sortir de la salle de bain. À peine la porte ferma qu'il entendit le garçon crier. Onyx venait sûrement de l'attraper de dos et le soulever du sol comme il aimait le faire. Onyx. Aaravos se perdit dans ses pensées. Après les derniers évènements, la provocation à la conférence et leur présence évidente à la manifestation, son père l'avait officiel renvoyer de la compagnie. Son mari était maintenant sans-emploi. Une chance que lui conservait son poste, car sinon ils n'auraient plus les moyens de vivre dans cette maison. Le point positif est qu'il ne partait plus à l'étranger et restait en permanence avec eux.

Il quitta la salle de bain une fois habillé pour le travail pour trouver Noatak coucher sur Onyx qui le tripotait en l'embrassant devant la télévision. Il les observa un moment amoureusement avant de soupirer.

"Noatak es-tu prêt à ce que je te dépose a la patisserie?"

"Oui oui." Répondit le garçon en se relevant et se dirigeant vers lui avant d'être arrêter par Onyx qui le tira par le collier pour enfouir sa tête dans son cou.

"Onyx, il doit aller travailler."

L'homme à la peau foncé grogna avant de le libérer et Noatak, de ses mains potelé, tentait d'enlever les pli de sa chemise blanche.

"Onyx, tu as appeler ta mère?"

"Mmh?" Répondit l'homme a la peau foncé qui faisait mine d'être trop absorber par la télé.

"Ça fait deux semaines que mon père ta licencier. Il serait temps que tu te trouve un nouvelle emploi. Pourquoi ne pas retourner travailler pour l'entreprise de ta famille."

"Je l'appellerai plus tard."

"Onyx, je sais que ça ne te plaît pas plus qu'il ne faut, mais nous allons devenir des parents. Un enfant coûte cher et..."

"T'avais qu'à mettre un putain de condom, alors. C'est ton enfant pas le mien."

Aaravos figea face au ton sec de son époux et lui et Noatak échangea un regard apeuré.

"C'est notre enfant. À tout les trois." Tenta Aaravos.

Onyx poussa un long soupir plaintif sans quitter la télévision des yeux.

"Je l'appelerai tantôt."

"Ok. Merci. Passe une bonne journée."

"Ouais, a vous aussi."