2: les cours

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PDV Lina

Bien que se soitbla merde chez moi, au lycée c'est pas mieux.

*

Je me réveille contente à l'idée de ne pas avoir rêvé. Je regarde l'heure et voix qu'il est 8h30 du matin." Et merde j'ai trop bien dormi". Je suis censé commencer à 8h. Alors je me lève, prend les seules vêtements noirs que j'ai dans mon placard, prépare mes affaires et sort de chez moi sans croiser mes parents. "Ouff".

Arrivé au lycée je me rend devant ma salle. J'attend quelque minutes avant d'entrer de peur de découvrir ma classe.

TOC-TOC

- Entrez. Dis mon prof.

- Bonjour, désolé du retard. Je m'excuse. Mon réveille n'a pas sonner.

- C'est pas grave. Mais que ça ne se reproduise pas.

Je rentre et pars m'assoie à une place sans prendre le temps de regarder les camarades.De ce que j'ai pu voir, il y avait pas vraiment de gens que je connaissais. Mais une personne en particulier attirais mon attention: - il est brun les yeux marron je ne peux pas voir sa taille vu qu'il est assi, plutôt maigre...- Il me fixait sans dévié le regard sur le prof une seconde. Pendant une minute il ne faisait que me regarder, ensuite il me faisait des signe de mains incompréhensible, et à 20 minute de la fin di cours, il est venu s'asseoir a côté de moi. "Et merde." Je priais poir que le prof l'engueule mais non.

- Salut. Me dit-il.

- Salut. Je lui répond froidement.

- Comment tu t'appelle ?

- Lina.

-"Lina" t'es sérieuse ? Ce moque-t-il. C vraiment un prénom de merde.

- Si tu es venu ici pour re moquer de quelque chose auquel je ne suis pas responsable, alors dégage. Je lui sors.

- Wow !!! Calme toi ma belle. C'était pas mon intention. Moi c'est John. Dit-il en me tendant ma main.

Je regarde sa main, puis lui. Et fini par parler.

- Ok.

- Wesh t'es froide. Me sort-il.

- Ok. Tu peux dégager maintenant.

Il fait comme si il n'avait pas entendu et continu à me parler sur un ton moqueur. Et j'aime pas sa.

- Pourquoi tu es habillé tout en noire ? Me demande-t-il.

Cette fois c'est trop. Je me lève, et montre du doigt la place opposé de moi.

- Tu n'as pas autres chose à foutre que de me faire chier?! Dégage sinon je vais m'énerver.

Ils se lève à son tour. (Ah il est plutôt grand enfaîte). Tout les regard de la classe son braqué sur moi et lui.

- Ah ouais, et tu vas faire quoi sérieux ? T'es faible. Ça se voit à des kilomètre.

Ce reproche me fait très mal au cœur, mais c'est pas pour autant que je vais me laisser décourager.

- Bas continu et tu verras. Lui dis-je sans vraiment avoir une idée de quoi lui faire si il continu.

Son visage est rempli de colère. Et me donne un coup de point dans la mâchoire. Je m'écroule au sol la tête en feu. Puis il me redonne un coup. Un douleur atroce me traverse tous le corp, mais me donne la force de me lever et de sortir de la salle en courant. Il faut que je m'éloigne de cette classe de cinglé.

Je cours me réfugiés dans les toilettes, et m'enferme dedans. Il ne reste que 10 minutes avant la fin de la matinée et donc de la journée. L'attente est interminable.

DRIIING.

Ça sonne. Enfin.
Il faut que je rentre chez moi. Et il faut aussi que je retourne en salle récupéré mes affaires.

- Lina je sais que tu es là. Dis une fille a travers les chiottes.

Il me fallu quelque seconde pour reconnaître le voix. C'est Fankie. Une filles qui me harcèle depuis la primaire.

Je ne répond pas et me contente juste d'attendre.

- Lina !? Fais pas genre, je t'ai vu il y a 10 minutes courir ici. Ta maigrie depuis depuis l'année dernière non ? Haha.

Je n'ai qu'une envie: la gifler.

- Oh ça va je rigole. Faut pas pleurer. Tu savais que Jhon étais mon mec. Il ma tous raconter. Une histoire hilarante où comme toujours tu te fais ridiculiser devant tous le monde. Quel dommage qu'on est aucun cours en communs. J'aurais rigoler. Bon aller Salut !

Elle me soule celle-là. Quand je la vois même l'entend, j'ai envie de la claquer et de la balancer au sol.

je sors de chiottes, vais dans la salle et rentre chez moi. c'est le seul moment de la journée que j'apprécie, car je suis seule avec mes pensés. personne qui me parle, personne qui me frappe... Le seul moment calme de la journée a l'exception du vent et des voitures. mais ce léger moment de bonheur s'efface rapidement quand je rentre chez moi et tombe nez à nez avec mon père...

close to deathOù les histoires vivent. Découvrez maintenant