close to death

6.

PDV Lina.

- ça ne l'étonne pas d'eux. Je lui répond.

- Pourquoi ?

- Je n'ai pas envie d'en parler.

Je me lève et sors du lycée les larmes au yeux. J'ai mal au bras. Il saigne toujours je le sens. Mais je me suis habitué un peu à la douleur avec le temps.

Je vais chez moi pour demander à mes ex parents comment ça va se passer, où je vais vivre, avec qui et pourquoi ils ont pris cette décision. Mais arriver chez moi, je vois un mot écrit sur la porte.

" Lina,
tu nous a extrêmement déçus.Depuis que tu es née, nous t'avons offert un toit et de l'amour. Même voir beaucoup plus. Nous t'avons aimer. Hier Mark (ton ancien père), voulais juste passer du bon temps avec toi. Mais toi tu lui en a privé. C'est très égoïste de ta part. Tu ne nous as pas montré le moindre remerciements pour tous se que nous avons fais pour toi. C'est pour ça que nous avons pris cette décision. Tu vas vivre seule ici désormais. Nous, nous sommes déjà partis. La police est au courant pour Hardin, alors essaie de rester discrète dans la vie.

Mark et Lisa.(Tes anciens parents)."

Pourquoi ?

La seule chose qui me vint à l'esprit est juste le mot "pourquoi ".

D'un autre côté ils ont répondue a presque toute mes questions.

Je prend mon téléphone, et essaie d'appeler ma mère. Répondeur. Mon père, répondeur aussi.

Je rentre donc, la maison est vide. Tout est vide. Sauf ma chambre. Il reste mon lit, mon bureau, mon armoire et ma télé. Il y a aussi la salle de bain et des toilettes. Bien évidemment. Tous le reste est parti. Littéralement. Comment je vais faire ? Es que c'est le bon moment pour faire se que je veux faire depuis des années ? Es que je vais réussir à vivre seule ? Des centaines de question rebondissent dans ma tête. Mais je oréfère les laisser de côté pour l'instant.

Je retourne dans ma chambre, descend mon lit en faisant en sorte qu'il fasse aussi un canapé. Mon bureau pour qu'il fasse aussi une table... Je me prépare une petite pièce de vie. Je sens déjà que c'est extrêmement difficile de vivre seule.

1 semaine plus tard.

PDV Lina

Je me réveille, comme d'hab à cause de l'on réveil. Je me lève, m'habille, prépare mes cours et sors de chez moi en direction du lycée. Pendant mon cours de S.V.T, quelqu'un toc à la porte.

TOC-TOC

- Entrez. Cris mon prof.

Un homme entre. C'est le même qui m'a amené chez la proviseur il y a une semaine. Mais il n'est pas seul. Derrière lui, se tien 2 agent de police - un grand et un petit- et une femme des services sociaux. (C'est écrit sur sa veste).

- Bonjour. S'exclame le surveillant. Je vien chercher Lina.

- Pourquoi encore ? Je demande agacer (déjà).

- Bonjour Lina. Commence la femme. Je te demande de nous suivre sans faire d'histoire.

- Pourquoi ? J'insiste.

- C'est bon ça suffit. Gueule le plus petit des 2 agents. Tu vas venir avec nous, et nous allons tout t'expliquer une fois dehors.

Je me lève et sors. Les 4 adultes me regardent et finissent par me suivre.

- C'est bon vous pouvez me me dire. Je gueule dans le couloir.

- Non pas ici. Répond l'autre agent. On te dira tous une fois arrivé chez toi.

Comme ce sont des agent de police, je décide de ne pas protester.

- Ok.

Je pars sans les attendre en direction de chez moi. Mais je m'arrête arriver devant la porte car je n'ai pas envie qu'ils voient la maison vide.

- C'est bon on est chez moi. Vous pouvez me dire.

Ils me fixent, je les fixe, on en fini plus.ils ne semble pas très motivé à me dire la cause de leur venu.

- Je vous me dite où quoi ? Je crie.

- Oui bien sûr. Répond la femme. Une fois que nous aura laisser entrer.

- Non. Je dis assez franchement.

- Ce n'est pas une question Lina. Cette fois-ci c'est le plus grand des 2 agents qui parle. Laisse nous entrer.

- Non. Vous êtes chez moi. Vous avez aucun ordre à me donner.

- Très bien. Un de tes voisins a remarqué il y a quelques temps, qu'il ne voyait plus tes parents. Il a attendu 3 jours pour voir si il les voyait. Comme il ne les a pas revu, il a appelé les services sociaux. Donc prépare une valise et suis nous. Déclare la femme.

- Et, mais non enfaîte. J'ai panés envie. Je sors.

Un des agent me pousse et entre dans la maison de force. Il reste bouche-bée à la vue de la baraque presque vide.

- Pourquoi la maison est-elle comme ça ? Demande-t-il.

Je ne répond pas.

- Allez prépare tes affaires. Dis l'autre agent (le plus petit).

Je prépare mes affaire à contre cœur, en faisant en sorte de prendre mon taille crayon et un petit couteaux suisse. Nous sortons de la maison et allons dans la voiture.