Capítulo cuatro

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Je suis là en train de prier Dieu pour que tout rentre dans l'ordre. J'ai toujours été très croyante depuis mon enfance. Je prier souvent avec mes parents et abuela .J'allais souvent à l'église peut-être que ces derniers temps j'y allais un peu moins que d'habitude étant donné les cours plus mon travail mais J'essayé au moins de m' y rendre une fois par semaine parce que j'y tiens .

-Libranos del mal Amén . J'ai à peine le temps de finir ma prière qu'une femme fait son apparition dans ma chambre avec un plateau repas elle me regarde et me dit .

-el señor me mandó a traerle de comer bien (monsieur m'a ordonné de vous ramener ça mange bien) me dit-elle avec un petit sourire .

Je reste là sans répondre j'aimerais bien le lui rendre son sourire mais malheureusement je n'y arrive pas j'ai comme un nœud dans la poitrine qui s'est formé à cause de la peur et de l'appréhension de ce qu'il va m'arriver .

Elle m'adresse un léger signe de la main comme pour me dire au revoir et sort de la chambre .

Je me lève donc du lit sur lequel j'était assise pour pouvoir voir ce qu'il y a sur le plateau .

Je reconnais alors un plat spécialement colombien que ma grand-mère me fait de temps en temps avec un côté une salade de fruits. Bordel cette situation me fait encore plus flipper. Pourquoi ces gens sont-ils si gentils ? Il y a de cela deux heures il voulait me tuer en fait cela m'énerve je ne comprends rien strictement rien et si la nourriture était empoisonné ? Oui putain je suis sûre que c'est ça il n'y a pas d'autres explications. Je décide donc de reposer le plateau là où la femme l'avait déposé et de ne pas y toucher .

Je suis là à me torturer l'esprit et à essayer de trouver une explication rationnelle à tout ça. Je décide alors de prier à nouveau cela m'aide à ne plus avoir peur et à me calmer.

Toujours dans ma prière en serrant ma croix autour du cou j'entends la porte s'ouvrir à nouveau mais cette fois pour voir devant moi l'imposante carrure de l'homme aux cheveux couleur ébène . J'avale péniblement ma salive en appréhendent ce qu'il va me dire où me faire.

Il me juges quelques instants de la tête au pied oui parce que je suis assise sur le lit et je n'ai pas vraiment trouvé le courage de me lever ni l'envie. Ses yeux parcourt tout mon être pour finalement croiser mon regard ses yeux sont d'un noir profond qui contraste parfaitement avec le vert clair de mes yeux.

-Lève-toi me dit-il d'une voix grave et autoritaire .

Je me lève alors parce que honnêtement j'ai pas envie de l'énerver celui-là. Je pense que honnêtement personne ne chercherait à avoir des problèmes avec lui.

Je suis devant lui la tête baissée intimidé par l'homme qui se trouve à quelques centimètres de moi .

-tu n'as pas mangé

-non je n'avais pas faim

Il m'attrape le menton pour que je puisse le regarder dans les yeux cette fois .

-quand je te parles-tu me regarde dans les yeux c'est clair ?

J'essaye de lire dans son regard pour voir s'il est en colère énerver ou même amuser mais rien je n'y vois rien c'est étrange à vrai dire je suis le genre de personne qui aime lire dans le regard des autres pour voir leurs émotions ou ce qu'ils sont prêts à faire ou à dire .

Perdu dans la contemplation de ses yeux il me sert plus fort le menton et là je réalise mierda.

-Oui c'est clair lui dit-je en prenant soin de le regarder dans les yeux cette fois .

-Bien je vois que tu es plutôt obéissante ça va te servir dans ce que je vais te demander à l'avenir .

-Je vais vous servir à quoi aux ai-je demandé .

-Ton corps va me servir.

Et je reste choqué suite à ses paroles bordel de merde non pas ça J'aurais du m'en douter bordel non .

-Non s'il vous plaît tout mais pas ça lui dit-je les larmes aux yeux.

Il me regardes-et me dis

-Tu m'a bien dit que tu ferais tout non ? Et en échange je te laissé la vie sauve à vrai dire Venidza je ne te laisse pas le choix.

-comment connaissez-vous mon nom lui demandes ai-je méfiante .

-Oh si tu savais tu avais à peine franchi la porte de cette chambre que je savais déjà tout sur toi de tes parents jusqu'à tes petits cousins me dit-il d'un ton moqueur.

Mais bordel mierda là s'en est trop je fonds en larmes j'ai peur mais cette fois je n'ai pas peur pour moi j'ai peur pour ma famille abuela mais parents mes frères. Je ne veux pas que quelque chose leur arrive par ma faute .

-Putain arrête de chialer me lastimaste la cabeza (tu me fais mal à la tête) me dit-il avec de l'autorité dans sa voix pour que je m'arrête mais cette fois je n'y arrive pas .

Je le regarde alors larmes dévalant mes joues et je lui dis .

-je ne peux pas faire ce que vous me demandez je ne peux pas. Dans ma tête donner mon corps à un homme dont je ne connais même pas le nom me répugne je préfère alors mourir plutôt que me vendre ainsi je le sais si je fais ça je mourais de honte et de tristesse et c'est moi qui causera ma propre mort .

-Tuer moi parce que je ne peux tout simplement pas faire ce que vous me demandez.

Il me regarde et me dit

-Bordel quelle perte de temps j'aurais pu te buter plutôt et ce serait déjà fait tu m'oblige à salir le sol de cette putain de chambre . Il sort alors sont arme et la colle sur mon front .

-Tu sens ? Tu sens cette arme froide sur ton front me demande-t-il .

-Oui réponds dit-je n'arrivant plus à calmer mes sanglots .

Je l'entends enlever la sécurité de l'arme et là je prie je prie pour que mes parents ne m'en veulent pas je prie avec l'espérance qu'ils vivront longtemps et que leur vie sera belle et que leur amour perdurera. Je prie pour Abuela pour qu'elle aussi ne m'en veulent pas et qu'elle puisse se soigner de ses douleurs. Pour mes frères que j'aime tant et avec qui j'étais tellement proche.

J'attends la balle rien ne vient je décide de rouvrir les yeux pour voir si je ne suis pas déjà morte et là je le vois toujours devant moi mais cette fois il n'a plus son arme à la main.

-ça fait dix minutes que tu es là en train de prié tu n'as même pas remarqué que j'ai enlevé larmes de ton front .

-Je qu'est-ce que ?je ne comprends pas

-je te laisse la vie pour l'instant tu me servira à d'autres choses ici .

-comme quoi demande ai-je sur la défensive.

-Comment tout je ne te demanderai pas d'assouvir mes besoins sexuels Venidza dit-il d'un ton blasé .

-Merci soufflais -je entre mes lèvres comme si c'était un murmure .

Et puis j'entendis sait pas se diriger vers la porte et une fois celle-ci fermé j'ai su qu'il était parti.

Cet homme je ne peux pas le comprendre  je n'y arrive pas il est complètement instable mais il m'a laissé la vie sauve et à accepter de ne pas me faire faire la première condition pour laquelle il m'avait laissé envie je ne suis pas encore sûre mais se pourrait-il que cet homme que je pensais si horrible ne le sois pas tant que ça finalement  .



~A SUIVRE ~










Voilà j'espère que ce chapitre vous aura plu !!

Dangerous LoveOù les histoires vivent. Découvrez maintenant