🍿5🍿Jour de congé (2)

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Je vous sors le chapitre maintenant sinon je vais zapper mdrr

Désolé d'avance ! Bonne lecture (ou pas) 



PDV Kirishima


Je regarde Bakugo quitter la pièce. Bah alors ? C'était quoi ça ? Je n'ai pas le temps de réfléchir plus que ça, je me fait littéralement sauter dessus par Denki. Il me crie dans les oreilles mais je serai bien incapable de dire quoi.


- Articule quand tu pètes !


Oh mon dieu, voilà que je reprend les expressions de mes darons...


Denki : ON MANGE DES PIZZAAAAAAASSSS !!!!


Et là, je réalise.


- OH OUAIS BORDEL !!! JE VEUX  UNE PIZZA QUATRE FROMAGES !!


Et il part en courant et en criant. Je le suis dans son entrain mais me stoppe vite en voyant la tête de Bakugo. OH NON DENKI TU VAS MOURIR ! T'en fais bien, je viendrai à ton enterrement. Je m'arrangerai pour qu'il y est de la bonne musique et beaucoup de nourriture (que tu pourras pas manger vu que tu seras juste légèrement mort).


Bakugo : C'EST PAS BIENTÔT FINI CE BORDEL ?! LA PILE SI TU FERMES PAS TA GUEULE, JE TE LA FERME DE FORCE? TU VAS VOIR !!


Pfff, il a refroidi l'ambiance le porc-épic... Je m'assois sur le canapé et croise les bras sur mon torse, en mode je boude comme un gosse de quatre ans. Denki me rejoint moins de deux secondes plus tard en se laissant tomber sur moi. Je grimace légèrement mais reprend vite ma tête de personne outrée.


*Ellipse de quelques heures*


PDV Bakugo


Par je ne sais quel miracle, ils ont réussi à me trainer en ville. Je marche derrière la "Bakusquad" (ridicule ce nom, surtout quand la bande de Deku porte celui de "Dekusquad"). L'Alien est sur le dos de Tête d'ortie et gigote pire qu'un asticot.

Et ce qui devait arriver, arriva. Elle finit par terre en râlant. Shitty Hair éclate de rire sous le regard consterné de l'autre bonbon rose. Je les rejoint en trois pas et me plante devant eux. 


- Bah alors ? Il a bon goût le sol j'espère.


Ma remarque fait repartir le fou rire de Tête d'ortie. Il rit tellement qu'il a du mal à tenir debout. Alors il pose une main sur mon épaule pendant qu'il se tient les côtes avec l'autre. J'adresse un sourire narquois à l'Alien pendant qu'elle se relève. Elle me tire la langue.

Une fois que le Rocher sur pattes s'est calmé, on reprend notre marche vers la rue marchande. On y arrive et je soupire en voyant le monde qu'il y a. Je préfère quand il y a personne. Là, on peut à peine faire trois pas avant de foncer dans des nazes.

Promesse [KIRIBAKU]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant