En pleine nuit cimmérienne,Le silence à en entendre mon sang couler dans mes veines.
Seul et loin ta silhouette,
Assise sur un banc au bord de la seine.
La vapeur de ta chaleur humaine,
Dans le froid de la nuit quotidienne.
Ta conscience absorbant ton mal-être,
Te torturant à en devenir incertaine.
Moi je suis là, avec mes propres peines,
A t'aimer jusqu'à en devenir malsaine,
Pensez à toi jusqu'à avoir une migraine.
Sans même te connaitre, je t'aime,
Une obsession à en écrire des poèmes.
Si seulement tu étais mienne,
Toi ma reine.
(cimmérienne: très sombre, enveloppé dans les ténèbres)