Chapitre 8

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POV : (T/P)

- Tu te fou d'moi Killer ? Depuis quand tu prends ce genre de décision ? C'est moi que la capitaine au cas où tu aurais oublié et tu sais très bien que je ne recrute pas de femme !
- Ne t'inquiète pas Kid, j'en prend l'entière responsabilité. Disons que j'ai une forte impression sur le fait qu'elle est très spécial, même si je ne peux pas dire pourquoi.
- Là n'est pas la question ! J'ai accepté de la garder jusqu'à Sabaody, pas plus !
- Kid, tu sais que tu peux me faire confiance. De toute façon il est trop tard pour faire marche arrière et je lui ai promis de la protéger jusqu'à ce qu'elle sache se défendre.

Kid me regarda d'un air mauvais avant de claquer sa langue et de partir à l'intérieur du navire.

Je me sentais un peu mal à l'aise, le reste de l'équipage présent continuait à me fixer. Finalement, Killer les interrompit à mon plus grand bonheur.

- Retournez à votre travail ! Ce n'est pas un spectacle !

Toujours ma main dans la sienne, il m'accompagna à l'intérieur. Une fois dans la salle commune, il me lâcha la main puis s'adressa à moi.

- Désolé pour cette petite scène, j'aurais dû mit attendre. Il est un peu plus de dix-neuf heure et demie, il faut que je me dépêche de préparer le dîner. Je viendrai te chercher quand ce sera près, tu peux retourner dans ma cabine si tu veux. À plus tard.

Il me laissa même pas lui répondre qu'il m'avait déjà tourné dis pour aller en cuisine.

J'avais décidé d'aller dans sa cabine comme il me l'avait dit. C'est vrai que le Victoria Punk est grand, il me semble même qu'il n'y a que les cabines du capitaine et du second qui ne sont pas sous le pont, ainsi que l'infirmerie, les douches commune et la salle commune qui sert aussi de salle à manger et la cuisine.

Je poussa la porte de la cabine puis entra avant de fermer la porte. Je regarda rapidement sa cabine pour voir que tout était à sa place, rangé et sans l'ombre d'une poussière. Décidément, Killer est vraiment un homme soin.

En tournant la tête vers le lit, je remarqua quelque chose d'étrange. Enfin non, pas étrange, juste quelque chose qui n'avait rien à faire là. Pour en avoir le cœur net je me rapprocha du lit et pris l'objet dans ma main.

*Comment c'est possible ?! Comment est-ce arrivé là ? C'est bien le mien en plus.*

Pas de doutes.... C'est bien mon téléphone. J'étais vraiment choqué, je pense qu'il n'y a pas meilleur terme pour décrire cet émotion.

Je suis apparue dans ce monde sans rien, même mes vêtements d'origine avaient été remplacé par de vieux bouts de tissus d'après ce que Heat m'a dit.

Je me décide à le déverrouiller, puis je m'aperçois que seul trois jours ce sont écoulé.

*J'imagine que le temps entre ce monde et le mien à un décalage en fonction des scans qui sorte sur Internet ? Donc l'histoire n'a pas vraiment avancé depuis que je suis là. Dès que je suis seule et sûr de ne pas être dérangé, il va falloir que je lise les scans alors, de plus que je suis en retard en temps normal.*

J'étais toujours entrain de fixer la date en y réfléchissant, puis mes yeux descendent sur la messagerie. J'avais une quinzaine de messages non lu, une première pour moi.

Je clique dessus puis je vois que des personnes mon spammer depuis que j'étais partie.

*Amusant, ils ne me calculent jamais et se foutent de mon bien être mais maintenant que je ne suis plus là, ils s'inquiètent ? Bande d'hypocrites.*

Dernière goutteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant