Mes souvenirs

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Cétait à Mégara, faubourg de Cartage dans les jardins d'Hamilcar.

Après une longue journée de labeur dans les jardins du palais, j'étais moite de transpiration et mes pieds me brulaient. Une fois renté à la case, je pris une douche rapide mais suffisante pour retirer toutes les impuretés de ma peau, m'habilla rapidement et fit mon sac de randonnée sans oublier ma corde. A la nuit tombée je partis, sac sur le dos en direction de la montagne. Dehors le vent glissait sur ma peau et faisait bouger mes cheveux, qui séchait grâce à la chaleur de la saison. Ce soir je ne dormirais pas dans ses lits français. Il ne fallait pas que je perde du temps car mes petites pâtisseries soigneusement emballée aurait était tout abimée et froide.

La nuit était calme, l'air était chaud et l'on entendait le tintement des cloches des animaux dans les pâtures. Cétait d'un bon pas que je parcourus les chemins escarpé des monts. A mesure que je monte mon coeur se serrait et la boule loger dans ma gorge grossissait. Une fois arrivé en haut je pris repos sur une pierre plate et sortie une petite pâtisserie. Je m'empressais de la déguster. Elle était encore légèrement chaude et quelques cristaux de sucre se déposèrent sur mes lèvres. Je fis passer ma langue sur celle-ci pour les récupérer. Je repris ma route pour monter encore plus haut sur cette grande dame de pierre qui surplombait la vallée et dominait le palais.

A mesure que mes pas se rapprochais de ce grand arbre l'air se faisait plus froid. Quand il apparut dans mon champs de vision une larme coula sur ma joue. Cette larme est un mélange de joie et de tristesse. Je m'assise au pied de ce vielle arbre, sortie mes pâtisseries du sac et me laissa emporter par mes émotions.

Sous mes yeux clos une abondance de larmes s'y échappait mouillant mes joue que le vent avait sécher. Je pris dans mes mains cette chaine t'appartenant. Toi qui aimais tant ses pâtisseries, toi mon frère, mon meilleur amis qui est partie avec la clef de mon coeur, tu étais le chef de mon bonheur. Toi qui riais fort si fort que tu illuminais la pièce et réchauffait mon corps. Toi qui travailler ne t'as jamais dérangé, tu dors maintenant paisiblement. Ma peine se dissipait peut à peu et quand cur et poumons reprirent leurs calmes, je rouvris les yeux et essuya d'un revers de mains mon visage. Respira un bon coup et mangea les pâtisseries délicatement posées dans l'herbe. Je m'étais allongé contre le chêne et observait les étoiles en imaginant retourner en Australie à tes coter. Et sous ses étoiles que Morphée me berça et memporta dans un monde ou les rêves nont pas de limite.

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⏰ Dernière mise à jour : Feb 13, 2022 ⏰

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