J'ai abandonné mon coeur.
Dans les méandres amoureux.
Pour te poursuivre en évitant les malheurs.
Et ainsi avec toi vivre heureux.
De tes bras en connaître la chaleur.
J'en suis tout simplement désireux.
Deviens ma Bonnie Parker.
Je serai ton Clyde Barrow.
Tu oublieras tous tes malheurs.
À ton doigt je passerait un anneau.
Avec toi nous passerons des heures.
A admiré nos futurs marmots.
Malgré la distance.
Et nos rencontres si rares.
C'est à toi que je pense.
Egerie de mon art.
Déesse de mes sens.
Gardienne de mon savoir.
Tu hantes mes pensées.
Du matin au soir.
Dans ton regard j'aimerai me plonger.
Enfin de t'émouvoir.
Dans tes cheveux, ma main y enfoncer.
Afin de goûter la saveur de l'espoir.
Ton caractère sans détours et franc.
Ta personnalité si différente et familière.
Est-ce cela qui me plait tant ?
D'habitude plutôt solitaire.
Tu me ressembles mentalement.
Avec toi je deviendrai grégaire.
Je t'écris cette dernière strophe.
Pour te laissai un petit chrysanthème.
Contenant une apostrophe.
Et ayant pour thème.
Une merveilleuse catastrophe.
Où ces derniers mots germent.
Je t'aime.
22 juin 2013.