Que l'on soit fait d'or.
Ou tirer d'un folklore.
À jamais dans la mort.
Notre boîte de Pandore.
Sera portée par des croques-morts.
Avides de voir nos âmes censurées.
Criant douleur dans l'enfernité.
Et combattant pour la liberté.
Des esprits tourmentés.
Et torturés.
Pour qu'enfin la rebéllionsoit achevée.
Le smoutons pervertis.
Deviendront des loups insoumis.
Dénonçant cette douce tyrannie.
Cachée sous le voile de la démocratie.
Donnons la mort à cette félonie.
Priant le politiquement correct.
Alors que tout ce joue sur l'infect.
Massacrant l'intellect.
Lui donnant l'image d'abject.
Je vais être direct.
Cette république qui nous soudoie.
Et qui donne la loi.
À qui aura le plus de foi.
Prônant aussi le chacun chez-soi.
Ne donnant aucuns emplois.
Je m'octroie le droit.
De penser "Je la broie".
J'aimerai la baiser avec le sourire.
Mais cela lui donnerait trop de plaisir.
Au point d'en jouir.
Sur les pauvres gens martyrs.
Et les démunirent.
Des derniers espoirs qu'ils ont à bénir.
Pour ainsi leurs prédire.
À l'aide de satyres.
Leur faim si délectables.
De les voir crever à table.
Sans un sous affable.
Ou une âme charitable.
Une république irrattrappable.
Donnant dans l'individualisme.
Où l'important n'est qu'esthétisme.
Et jouant avec le laïcisme.
Quand le monde est au racisme.9 juillet 2013.