-Asher-

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Je t'aime depuis l'age de nos 5 ans. Le jour ou tu m'a tendue une pomme. Je ne t'ai jamais quitter des yeux depuis, Hope.

Petit, je te regarder avec des yeux brillant, encore une fois, je vous le répète que je ne pouvais pas te quitter des yeux. Je t'appeler ma princesse, tu m'appeler mon prince; on se tenait mains dans la mains, on s'était fait la promesse de ne jamais ce quitter...Puis a la fin, lorsque nous chacun devait rentrer chez soit, tu me déposer toujours un baiser sur ma joue & je te chuchoter dans l'oreille: à demain, fait de beaux rêves Princesse. Papa me taquine encore de la couleur rouge que prenait mes joues lorsque ses lèvres sucrées frôlaient ma peau de bébé.

Au début de l'adolescence, je croyais que cette sensation de chaleur aller s'éteindre...on dit que les amours d'enfances ne sont pas fait pour durer. Et pourtant, elle n'a jamais cesser de grandir, la flamme s'est ravivé de plus belle. Tu changeais tellement, et pourtant tu étais toujours la même a mes yeux. Ma princesse.

Vers nos 15 ans, je commencer à déconner avec la drogue sans pour autant en prendre, mes fréquentations avaient fort changer, tout comme mon corps; je ressemblais de plus en plus à mon père et faisaient les mêmes erreurs que lui. Tu ne faisais pas mieux de ton coté, tu commencer a échapper le couvre feu, sortir en soirée, flirter avec des hommes plus âgés, fumer une cigarette histoire d'échapper à la pression du monde environnent, ignorer ma présence ; Tu me faisais bouillir. Je le prenais très mal, surtout la fois ou tu est venu les bras dans bras au bal du collège avec Chase. Et pourtant lorsque que nos regards se croisait, il y avait un feeling, une sorte d'électricité que l'on ne peux pas expliquer. Mon corps me démanger, et tu n'arrêter pas de me fixer... son sourire était toujours aussi lumineux, mais son regard était triste et y était cacher dedans tout les mots que nous n'avons jamais sus se dire. Il fallait se rendre à l'évidence, c'était bien plus qu'un simple jeu de regard entre nous.

Aujourd'hui, nous avons 16 ans et nous nous sommes jamais autant dévorer du regard. Jusqu'à ce jour ou tout a basculer.
Notre amour s'est éteint.
Je n'étais pas triste que ça se finisse... j'étais juste en manque de ton attention. 

Toutes ses journées sans t'avoir constamment à mes côtés ont pris des teintes moroses.

On avait le temps de jouer, de grandir, de marcher, de danser, de s'enlacer, de chanter, de sourire, de s'embrasser, de se séduire, de s'aimer, de se marier, de vieillir main dans la main et on a préférer s'ignorer et on n'a jamais cesser de s'éviter, parce qu'il ne fallait pas nier que nous sommes destiner, lier a vivre toutes une éternité. 
D'un fruit d'un amour inconditionnel. Le vrai. Pas celui écrit dans les romans à l'eau de rose.

On s'était fait la promesse de ne jamais ce quitter. Et elle s'est aussi vite rompu qu'une assiette tomber à terre. Tout les morceaux de porcelaine s'étaient disperser dans la pièce.

Tu commençais à me parler de lui, tu l'appelais l'homme de ta vie.

Il était tous le contraire de moi, il avait un père aimant, il était riche, conduisait une Chevrolet vintage de son grand-père, ses cheveux ressemblaient à des épis d'or. C'était le genre d'homme qui sera surement a la tête d'une entreprise qu'il héritera de son père, un homme très sophistiqué à chacun de ses moindres gestes, qui sera là pour répondre a tes besoins et de ceux de votre famille . Je l'envié, c'était un jeune homme presque parfait qui n'avait que cessait monter dans mon estime en t'embrassant et en te glissant un je t'aime devant la porte et un bouquet de roses rouges sanguines devant ton bureau en classe. Tu paraissais si heureuse à ses cotés. Et ça, c'était encore plus precieux qu'un coup de foudre; tes yeux prenaient la forme de cœur lorsque que tu me parlais de lui.

je comprenais mieux le sens de la phrase:
"Son bonheur est le miens."

je m'en contentais de te voir rire et sourire dans ses bras. Mais à la fin, je n'étais pas rassasié. Il y avait toujours ce manque en moi. J'ai compris bien trop tard qu'Hope était une part en moi.

Tu me racontais tes journées au golf avec lui, les rencontres avec ta belle famille, absolument tous les détails  y compris la perte de ton innocence, les baisers, les disputes.

Tu me disais que tu l'aimais. Et ton regard ne trahissais pas. Tu étais obnubilé de lui.

J'oublierais jamais cette façons que tu avais de me regarder, je donnerai tous pour retrouver ce regard et la flamme.

Mais si m'a vie doit être sans toi alors ce sera ainsi. Je n'aurais pas mon mot à dire. Je ne te dirai pas que tu me manque. Le manque s'estompe avec le temps. L'amour ne fane jamais.

Je me contenterai de te voir rire, sourire, vivre . Je regarderai la scène de loin, comme un personnage secondaire et éphémère.

Je t'aime, je crois que je ne te le dirai jamais assez...  

Croqueuse d'hommesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant