♪ 𝗧𝗵𝗲 𝗵𝘂𝗻𝘁𝗲𝗿'𝘀 𝗺𝗼𝗼𝗻 𝗶𝘀 𝘀𝗵𝗶𝗻𝗶𝗻𝗴,
𝗜'𝗺 𝗿𝘂𝗻𝗻𝗶𝗻𝗴 𝘄𝗶𝘁𝗵 𝘁𝗵𝗲 𝘄𝗼𝗹𝘃𝗲𝘀 𝘁𝗼𝗻𝗶𝗴𝗵𝘁. ♪
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Une louve à la couleur insolite.
Cerise Lockwood vit dans un monde...
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PDV Alec
Quand cet horrible bruit venant de mon réveil retentit, je le frappai tout de suite de mon poing pour qu'il se taise. Et moi qui étais au milieu d'un très beau rêve avec ma charmante et délicieuse Cerise. Depuis qu'elle m'avait rejeté... Encore une fois, je ne pouvais m'empêcher de me sentir très mal. C'était comme d'avoir un couteau dans le cœur. Mais hors de question d'abandonner. Moi, Alec Corvo, abandonner ne faisait pas partie de mon vocabulaire.
Bizarrement, aujourd'hui, j'étais mal à l'aise comme s'il y avait un creux au fond de ma poitrine. C'était peut-être juste mon imagination.
Me voilà, à peine levé, que j'entendis mon insupportable ami Max entrer dans ma chambre sans frapper comme à son habitude, pour ensuite prendre un oreiller et me frapper avec.
"Debout la marmotte !"
"Sérieusement Max, tu es obligé de faire ça tous les matins ? Et puis j'étais déjà réveillé."
"Si je n'étais pas là pour venir te chercher, tu resterais dans cette chambre à te morfondre." "La ferme ! Pourquoi ne peux-tu pas être comme ton frère ?"
Swan comparé à son petit frère était bien plus calme. Et malheureusement pour moi, j'avais eu droit au plus bruyant comme protecteur.
"Parce que lui n'a pas mon charme ravageur."
Oh j'oubliais, c'était aussi un incroyable coureur de jupons, doublé d'un frimeur. Je savais que les rumeurs disaient que moi aussi j'étais pareil, mais encore une fois, c'était des conneries. Et parfois, c'était la faute de Max qui m'entrainait dans ses plans culs foireux.
"Mais oui, c'est ça, maintenant barre-toi pour que je puisse enfiler un pantalon." "Très bien, oh grand seigneur des vampires."
"Dégage !"
Je lui lançai un oreiller au même moment qu'il fermait la porte. L'oreiller cognant contre celle-ci, je pouvais entendre son rire au loin pour me narguer. Pauvre crétin.
Je me levai pour prendre une douche, l'eau chaude qui me lavait le corps était très relaxante. Je me regardai ensuite dans le miroir de ma salle de bain en enlevant la buée qui le couvrait pour y voir clairement mon visage. Ces miroirs étaient magiques, tous ceux qui étaient dans la maison l'étaient. Ce qui expliquait que je puisse me voir dedans.
Miroir mon beau miroir, suis-je vraiment si effrayant ? Que puis-je faire pour que ma Cerise n'ait plus horreur de moi ?
Des questions qui resteraient sans réponse malheureusement. Et les magazines de ma sœur que j'avais utilisés pour obtenir des conseils pour séduire une fille ne m'avaient été d'aucune utilité.
Quelques minutes plus tard, séché et habillé, je rejoignis le séjour où se trouvait ma mère, qui m'attendait pour le petit-déjeuner. Comme à son habitude, celle-ci était à sa place habituelle, à m'attendre pour commencer.
