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chapitre 23 : c'est compliqué

CHAPITRE 23 : C'EST COMPLIQUÉ

Mendoza avait crié aussi fort qu'il le pouvait le prénom d'Isabella de peur qu'elle ne soit tombé dans le vide.
Elle avait sauter sur une des pierres qui faisait le tour de la plus grande pierres, déconcentrée par le cris de son capitaine elle perd l'équilibre,
par un bon réflexe, elle s'accroche avec ses deux main gantée à la pierre. Mendoza la regarda inquiet tout comme les enfants et l'alchimiste tandit que Sancho et Pedro avaient décidé de prendre une pose et s'étaient endormis en moins de 30seconde .
Ambrosius les regardais, il sauta à son tour sur une des pierres sans tombé.
Peu à peu Isabella réussi à remonter,
Le temps de remonter Ambrosius avait pris largement de l'avance.
Elle fit un autre saut, un seul faux pas est fatal.
Ambrosius prenait de l'avance ce qui ne plaisait absolument pas au jeune Tao sans trop réfléchir le naccal s'éloigna pour prendre de l'élan et sauter à son tour.
Les pierres s'imibolisèrent quelque seconde avant que les autres tombe dans le vide Les marins, Zia, Esteban, Andrès et Mendoza étaient rester à la surface, le marin sauta dans le vide n'acceptant pas que ça belle peut être morte, il était inquiet très inquiet, c'est après que les autres ont sautés pour les rejoindre malgré leur peur.
Quelque seconde après leur chute, ils tombèrent tous dans l'eau, dans un tourbillon puissant aussi puissant qu'ils se laissent aller ne pouvant rien faire.

Les enfants, les marins, les duellistes se séparent tous.
Mendoza et Andrès se réveillèrent dans un village là où les villageois prirent soin d'eux tandit que les enfants et les marins s'étaient égaré au bord de la rivière et une forêt ci trouvais.
Quant à Isabella, elle atterie avec Ambrosius tout près de la nef.

Du côté de Mendoza

Après que les villageois ai pris soin d'eux. Mendoza ne pu s'empêcher de partir à la recherche des enfants et de sa chérie étant agité par la crainte, et l'incertitude de la retrouver.

Mendoza : Il faut les retrouvés !

Andrès : Nan sans blague, on dirait Isa qui me parles

Mendoza : Je ne rigole pas c'est sérieux

Andrès : C'est toujours sérieux, je sais. Et bien je propose qu'on les cherchent près de la forêt il y a bien de l'eau non ? ils n'ont pas dû atterir bien loin

Ils marchèrent ensemble silencieux.
Le plus soucieux d'entre eux c'était bel et bien le capitaine.
Mendoza ne voulait absolument pas voyage avec lui.
Celui qui le rend jaloux, non il ne voulait pas.

Mendoza : La dernière fois...

Andrès : Quoi la dernière fois ?

Mendoza : Isabella est entré dans ta chambre. Je vous ai vu. Tu as essayé...de l'embrasser, hein ?

Andrès : Quoi ?! N-non pas du tout. On est juste ami

Mendoza : Je vous ai aussi entendu. Elle doit rompre avec moi....pourquoi ?
Je ne suis pas bête

Andrès : *soupire* eh bien ...On n'est que amis mais...on n'a une mission tout les deux. On a prêté serment. Elle veut absolument terminé cette mission et je t'avoue que moi aussi mais continuer dans ces circonstances ce n'est pas possible

Mendoza : Quelle circonstances ?

Andrès : Elle t'aime. Vous êtes ensemble. Le problème c'est que nous avons des règles bien précise. Nous devons espionné Ambrosius pas vous. Nous devons aussi ramené le double médaillon. Et quand nous avons signé le pacte le première règle c'est de ne pas mêlé les relations personnelles à la mission et l'accomplir jusqu'au bout. C'est-à-dire donner notre vie pour ça.