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Chapitre 30 : Mes décisions ( 1 / 2 )

CHAPITRE 30 : MES DÉCISIONS

Les yeux d'Andrès s'élargirent avec le temps il avait oublié que dans le cahier de Ambrosius le père d'Isabella était toujours en vie demeurant en Espagne.
Son attention se porta vers l'enfant et il ne fit pas attention ou du moins fit comme si de rien était.

Docteur Laguerra : Oh je vois. Oui, Roy à toujours été maltraité. Lorsqu'il avait des blessures trop grave ces parents venaient me voir sous prétexte d'un accident mais il m'avait tout dit me faisant promettre de ne rien dire.

Andrès : Je vois. Pourriez-vous l'aider ?

Docteur Laguerra : Roy est quelqu'un de très intelligent. Je ne sais pas si c'est dans mes capacités car il ne veux pas oublier les douleurs subits.

Roy : C'est parce que la douleur restera même si vous m'aidez.

Andrès : Fait toi aider, Roy.

Roy : Je vous promet que j'oublirai au fil du temps.

Andrès insista un long moment et souffla désespérément.
Le docteur s'approcha du duelliste et lui parla lui prévenant que cet enfant est différent bien plus différent qu'il ne le laisse paraître.

Docteur Laguerra : Fait attention, Roy...est différent.

Andrès le regarda stupéfait. Différent c'est à dire ?
Le dueliste invita le docteur à accompagner le reste de l'équipe.
Le docteur Laguerra accepta pour une seule raison et seulement une.
Il les suivit pour être bien sûr que Roy est maintenant entre de bonne mains.
Ils marchèrent depuis un long moment, regardant chaque seconde son bracelet pour savoir où se trouvait Isabella et le reste de l'équipe.
Après plusieurs minutes, ils retrouvèrent enfin le reste de l'équipe.
Andrès insista pour que le docteur reste à l'écart et que personne ne le voit.

Mendoza : Ah vous voilà. Alors ?

Andrès : Il ne veut pas se faire soigner mais...

Mendoza : Mais ?

Andrès regarda si il n'y avait personne autour puis tout en chuchotant il révéla à Mendoza que le docteur Laguerra était présent.
Mendoza étonné regarda autour de lui mais ne vit rien.

Mendoza : Es-tu sûr de ne pas t'être trompé ?

Andrès : Absolument. Il est cachée parce que je ne sais pas comment il va réagir en voyant sa fille.

Laguerra : Mendoza, on a demandé aux personnes si ils avaient entendu parler d'une cité d'or mais rien. Personne ne sait.

Le docteur regarda une jeune femme s'approchant d'un homme avec une cape. En un clin d'œil, le docteur reconnu cet homme à la cape : Mendoza. Et de loin, il ne pouvait pas distinguer cette femme mais avait l'impression de l'avoir déjà vu.
Les rayons de soleil illuminaient le visages des passants ainsi que d'Isabella et Mendoza. Le docteur vit l'ombre de la jeune femme et d'une tel confiance il confirma ses doutes.

Docteur Laguerra : Quoi ?! Je suis outré par ma fille ! Ma chérie, que fais-tu ici ?

Elle aurait pu reconnaître cette voix sans aucun doute mais malgré tout elle ne pouvait confirmer son hésitation. C'est lorsqu'elle se retourna qu'elle vit devant elle son père. Son père qu'elle n'avait pas pu depuis des années, son père qui sois disant est mort. Elle était persuadé qu'il ne reviendrai jamais d'entre les morts. Et là, le voilà se tenant outrée devant elle. Osant lui faire la morale alors qu'elle a dû supporter toute la douleur de son absence.
Elle ne sut parler sans bégayer dû à la présence de son père.
Isabella resta crispé choqué, c'est un fantôme, un esprit ou est-ce vraiment son père ?