CHAPITRE 1

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Notre voyage depuis la Fosse des Mariannes durait depuis 5 mois maintenant. Je ne pouvais plus voir cette chariote. C'était comme ci la marque de ma nageoire avait été imprimer sur le banc du carrosse qui me servait de véhicule. Vous savez un de ces carrosses d'or tirée par quatre requin bouledogue.

Nous avions traversé de nombreux empire et confronter de nombreux bandits avant d'arriver sur les terres du Royaume Atlantique. En contournant les terres du continent Africain, je n'avais jamais eu si froid de ma vie. Heureusement que l'eau s'est réchauffer au fur et à mesure que nous longions la côte.

Du haut de mes 999 ans, j'étais l'aînée de notre famille. Mon père, le dieu Poséidon diriger l'ensemble des océan présent sur cette terre. A l'occasion de mon millième anniversaire mon père avait décider d'offrir ma main au précieux fils de Zeus, Hercule. Mon père avait tout d'abord décider d'envoyer Zalika, la deuxième nées. Zalika avait acceptée sans rechigner devant nos parents mais je la connaissais par cœur, son penchant pour le fils triton du maître d'écurie l'aurait tué avant d'arriver jusqu'ici. Et puis elle n'avait que 758 ans, il était tout naturel pour une princesse de se marier à cette âge-là, nous étions même prédestinées à des princes,  bien avant notre naissance.

Vous vous demandez alors pourquoi une fille aussi veille que moi n'est-elle pas mariée ? Et bien, je me suis toujours rebeller face à cette injustice. Je refusais de me marier à quelqu'un que je ne connaissais pas. Enfin comme ci les dieux m'avait écouter, l'homme auquel j'étais destiner bien avant est mort sur un champs de bataille. Les eaux du haut de la Russie était un pays dangereux.

Mais ma sœur avait trouver peut-être trouver son véritable amour, alors en tant qu'aînée je me devais de prendre sa place. Parmi notre tribus de centaine de frère et sœur, elle serait celle qui me manquerait le plus. Bien sûr que j'avais garder une représentation de chacun d'eux, consciente que je ne les reverrais plus jamais de ma vie. La région Atlante était beaucoup trop loin pour que je puisse passer des vacances là-bas. Mon père avait donc profiter de l'occasion, on allait fêter mes 1000 ans en grande pompe et il allait me marier au fils de son frère afin de créer une alliance incassable et puissante.

Ma mère, Médusa, je ne la voyais que rarement. J'étais une des seules encore à lui adresser la parole avec mon père. Après le terrible accident, elle c'était recloue de honte sur une île non loin de notre royaume. Elle avait lancer une malédiction à cause de Poséidon. Une fois qu'elle eu donner naissance à mes frères et sœurs, elle reçut la malédiction d'Athéna. Au début, elle pensait que c'était mon père qui lui avait lancer cette malédiction. De colère, ma mère lança la malédiction sur tout ses enfants. Nombreux sont ceux qui ont arrêter de lui adresser la parole après ça. Une fois par semaine, nous étions obliger de nous nourrir de chair humaine. Notre chant était envoutant et impossible de ne pas porter attention à l'oreille humaine. Il est dit que la malédiction nous seras lever qu'une fois que nous rencontrions le véritable amour. C'était lorsque nous nous rendions compte que l'humain pris entre nos griffes n'étais pas notre véritable amour, que toute trace d'humanité disparaisse et que nous les dévorions.

En tout cas heureusement, Poséidon m'avait laisser la compagnie de son plus fidèle chevalier triton, Swan. Il aurait pu devenir, général, comme son père, mais il avait préféré rester à mes côtés. Swan et moi avions grandi ensemble, c'était même lui qui m'avait appris à me battre au plus grand désarrois de ma mère. Elle avait finit par abandonner l'idée de m'enlever cela de la tête en se disant que cela me permettrait de me rapprocher de lui.

Il n'était qu'âgée de deux ans de plus que moi et il était vrai qu'entre nous deux cela avait toujours été ambigus. J'étais peut-être la fille de Poséidon et Médusa mais les sirènes et les tritons existent depuis beaucoup plus longtemps que ça. A de nombreuse reprise nous aurions pu franchir le pas lui et moi mais notre pudeur nous en empêcher, d'autant qu'à une certaine époque j'avais été destiner à un autre. Et encore maintenant, sûrement c'était-il fait à l'idée que lui et moi nous ne pourrions pas être ensemble. Mon cœur battait fort quand je le voyais, comme maintenant tandis que j'avais tiré sur mon rideau pour observer le paysage atlante.

Sirène Où les histoires vivent. Découvrez maintenant