La nouvelle.

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-j'espère que tu as bien dormis Jeanne.
-ça allait, le lit était plutôt confortable.
-je voulais juste te dire que je partais pour l'armée, j'ai reçu une lettre de l'état. les Prussiens se dirige vers nous, tu devras fuir vers Lyon. On ne sait pas dans combien de temps les Prussiens arriveront. J'espère qu'ils arriveront demain, le temps que tu partes.
-je refuse de vous laissez chère frère.
-si tu ne le fais pas, je serais obligé de te laisser. Prépare tes affaires pour ce soir. Tu sera protégé par des gardes qui escorte la population. J'ai demandé que tu sois là première. Façon je devais déjà t'en parler hier donc...
-je refuse.
-je suis majeur, je décide donc la situation, tu partiras point.
-tu es là seule personne qui me reste. Nos Parents ont disparus du jour au lendemain.
-les Prussiens ne devrais pas descendre jusqu'à Lyon. Tu sera en sécurité, tu pourras peut être fonder une famille avec quelqu'un que tu aimeras.
[...]
-je dois te laisser, je vais aller au marché pour prendre de la nourriture pour toi. Je te laisse.
Part
-il va vraiment me laisser.
Plusieurs heures plus tard
-c'est bon, j'ai acheté des fruits et légumes, ne pense pas trop à moi durant ces jours-ci. Cela risquerait de te faire du mal.
-j'essayerai.
-tu pense partir vers quelle heure ce soir. Tu auras trois chance soit à 20h Soit à 21h30 soit à 22h45, si tu refuse d'y aller j'utiliserai les moyens forts.
J'ai demandé à un garde de t'escorter, il est très sympa. Je pense que tu pourrai bien l'aimer.
Il est mince, assez grand, il à des cheveux brun. Son caractère, je dirais qu'il est serviable, gentil et très protecteur. Il ne te laissera pas partir si facilement.
Je décide quand même de t'envoyer à 22h45 dans le lieu de rendez vous. Tu n'auras pas le choix façon.
Prépare toi bien pour ce soir.
-oui jean...

Une Semaine en 1870...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant