Chapitre 1 : Le Commencement

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C'était un jour de pluie, que tout à commencer. Une nouvelle aventure débuta. Des épreuves que je devais a tout prix franchir pour devenir plus forte. Pour moi le monde rimait avec noirceur, peur, danger, colère, tristesse. Loin de là d'un monde tout rose.

Étant seulement enfant, je ne voyais pas vraiment ces dangers. Je n'ai pas 20 ans. Prenant tout à cœur. Sans faire de filtre. A l'école des personnes me pointer du doigt, fessais des messes basses avec la main qui cachais un Bou de leur visage. Tout en chuchotant en ma direction. L'insécurité fut très présente. L'omniprésence de la peur.

Le sourire qui était au coin de ma bouche commence à s'effacer au fur et à mesure. Mes larmes me parviennent au visage si doux. L'envie de s'évader et de fuir cet endroit me hante à chaque pas que je peux faire. Les insultes que les enfants disais me passer outre. Fini par s'imprègner dans mon crâne. Des images qui reviennent à chaque instant. Comme celle d'un petit garçon qui m'avais donné une claque et que son ami avais fait de même. Sans se poser une seule question de pourquoi il fessait cela.

En ce mercredi après-midi, une amie ce joint à moi à la maison. Contente de cet achat. Je lui présente donc mon magnifique portemonnaie multicolore. Qui comportait 60 euros. J'allais aux toilettes, une envie pressante me parvient.
Quand je reviens discuter. Sans prêter attention à ce fameux porte-monnaie multicolore.
Il fut temps que mes copines rentrent chez elle. Il se fait tard. Je leur dis au revoir de la main.
Revenant dans ma chambre je peux m'apercevoir que mon portemonnaie n'est plus là. Il a disparu.

Après cette après-midi tout de même sympathique il a bien fallu retourner a l'école. Malheureusement nous n'étions que mercredi. Tout de même une routine c'était installer.Avec les rires qui ne cesse d'éclater. Offusquer par cette terrible épreuve. Les larmes on commencer par coule sur mon visage, mes mains devenant moites, le ventre qui commence à me faire mal. Comme s'il y avait des nœuds. Mon tee-shirt se mire à se mouiller. La peur envahissant mon corps.

Des mots, des phrases qui provenait des enfants autour de moi qui disais. Tu es moche, tu ne sers à rien. A leur échelle il ne se rendais pas compte de ce qu'il faisait. C'étais l'époque de l'innocence de la force des mots et des phrases.

On me bousculait dans les couloirs, je ne réagissais pas. Je me laissais faire. Je regarder la scène d'une manière impressionner. Sans aucune assurance.

L'histoire d'une ColombeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant