Chapitre 2

210 15 1
                                    

Chapitre 2 :


La nuit à était difficile, j'ai entendu des gens hurlés puis de grand silence et rien. Ce lit n'est pas aussi agréable que celui que j'ai chez moi, mais sûrement mieux que ceux qu'ont les irlandais. Cette fille m'a tracassé toute la nuit, je n'ai fais que pensé à elle, c'était tellement perturbant. Il est bientôt quatre et demi, ce qui veux dire que tous le monde va se levé. Pourquoi si tôt ? Sérieusement, le jour ne se lève qu'à six heures en été.


Mes pieds touchent à peine le sol gelé, je soupire je veux être chez moi. Je passe mes mains dans mes cheveux et j'en profite pour les mettre en arrière puis file à la douche.


L'eau est brûlante sur mon corps : j'ai toujours trouvé que la douche est un bon moyens pour ne plus réfléchir tout lâcher quoi. Mais cette folle d'irlandaise occupe toute mes pensées : je ne comprend pas comment on peut être rebelle dans sa situation. C'est vrai quoi ? Ici pour tous les soldats et autres non-irlandais elle n'est qu'une sous-merde. Tout à côté d'elle est déclarée comme meilleure même le sida. Mais d'un côté je trouve ça tellement courageux d'être comme elle. Se battre pour vivre voilà ce qu'elle veux. Qui ne le voudrait pas ? Tous ces gens sont exterminés, la plupart d'entre eux ont parfois six mois est-ce normal merde !? Un bébé de six mois ne peux pas dirigé le monde, un bébé de six mois ne peut que pleurer ou gazouiller putain. Mais non ils sont brûler à vifs par des gaz alors que leur maman pensaient juste les lavaient. J'ai encore cette image déchirante du père de famille embrassant sa femme et son bébé. Il ne vas jamais se reconstruire ou alors il fera une connerie pour mourir et les rejoindre.


J'enveloppe une serviette autour de mon corps en éteignant le jet d'eau. Je jette un coup d'œil à ma tablette vérifiant si j'ai un message de ma mère et malheureusement : non. Je suis très complice de ma mère, mon père est partit au début de la guerre et depuis nous n'avons plus une seule nouvelle. Après j'ai une sœur : Gemma, elle est sur île ou elle se cache avec son marie juif. Dès que la guerre à commencer ils sont partis, nous laissant moi et ma mère. Et aujourd'hui ou je suis ? Dans une chambre, froide, sans couleur, sans rien. La mienne était coloré, enfin les murs étaient gris et noir mais ma mère et moi avions réussi à décoré pour faire en sorte qu'elle soit vraiment classe. Ma mère était décoratrice d'intérieur sauf qu'un jour elle est tombée en dépression car elle n'arrivait plus à tombé enceinte, donc elle s'est arrêté de travaillé et m'a élevé. J'ai été pourri gâté mais je ne le suis pas mentalement.


« Eh Styles tu es prêt ! » je soupire en regardant l'heure, il est quatre vingt-cinq. « Ouais je fini là et j'arrive t'inquiète pas. » Je ne sais pas qui à parlé et je m'en fou pas mal, je m'actionne pour m'habiller une fois fait je me dirige au self. Je frotte mes tempes, ce n'est pas pour moi les réveils matinaux. Je regarde chaque irlandais qui passe à côté de nous, il y a cette fille elle traîne toujours avec ce blond. Il est vraiment beau mais avec des joues en plus il le serait encore. Le soldat Liam m'adresse un sourire, c'est l'un des plus vieux -de mon quartier- et sûrement le plus doux, il n'aime pas la violence mais je sais qu'il à déjà puni. « Elle te perturbe non ? » j'arque un sourcil « Qui ça ? » « La p'tite irlandaise là, elle est bluffante n'est-ce pas ? Rebelle dans l'âme, heureuse d'être avec son petit-ami alors qu'un des deux sera sûrement mort dans quelques semaines, ou mois. » Je l'écoute et regarde en même cette fille. « Comment elle peut resté rebelle alors que comme tu la dis elle risque de mourir. » Son regard devient triste et il soupire regardant autour de lui.

A Triumphant Love -Terminée-Où les histoires vivent. Découvrez maintenant