The Lydia Junior's story

chapitre quatre

Je sortis de l'hôtel pour découvrir mes nouveaux environs.

Le village était plus ou moins petit et chacun avaient l'air de connaitre chacun. Un peu comme St-Bruno d'ailleurs. La ville où j'avais déménagé avec mon frère à mes dix-neuf ans.

Je rentra dans un bar dit populaire et m'assis à un banc prêt des contours à commandes.

"Voulez vous la spécialité du jour mademoiselle? Pain à l'ail et soupe au poulet du chef " me questionna la serveuse fort sympathique.

Elle avait Léa cheveux attaché en arrière de la tête en chignon, ce qui lui donnait un air de petite fille. De mince lèvres rosé recouvairent du épais brillant à lèvres et un maquillage Legé. Elle était dodu mais n'en était pas moins magnifique.

Je hocha la tête en signe d'approbation et souris gentillement comme javaus toujours su si bien faire.

Une femme aux cheveux brun long plat et aux yeux noir s'approcha de moi. J'aimais bien son style hippie, ça lui allait à la merveille. Elle était grande, mince et avait de légère tâches de rousseur sur le bout du nez qui ne faisaient que rajouter à son charme.

Elle s'assit à mes côtés et se retourna pour me faire face munit d'un sourire resplendissant de blancheur. Elle sentait la fraise, ce qui ne me surpris même pas vue son style vestimentaire. C'était décidément une des sois disant "populaire" entre parenthèses.

Elle semblait, à première vue, avoir le même âge que moi, c'est-à-dire vingt-trois ans.

"Nouvelle?" me posa telle comme question en me lançant un regard à la fois sauvage et curieux.

Je regarda son ora. Verte, un fée. Bonne ? Aucune idée. Tout ce que je savais à propos de ces dernières est que la confiance ne devrait pas être établit facilement car les fées sont naturellement redouté pour n'être que des garces sans coeur assoiffé de ' sang '.

Bien entendu, ces dernières ne sont évidement pas réellement assoiffé de sang. Mais les fées ont souvent, pour ne pas dire casiment tout le temps, un face cachées. Elles peuvent s'avérer être bipolaire et extrêmement colérique. Ce qui les rend méchantes et surtout, dangereuses.

"Depuis ce matin même" dis-je en souriant devinant qu'elle savait bien déjà ce que j'étais.

"Je m'appelle Carolane, Carolane Hubert. Mes ami(e)s et moi avons une petite réunion ce soir, tu peux te joindre à nous si tu le souhaite, ça pourrait t'être intéressant de rencontrer du monde, te faire des amu(e)s, des connaissances." me proposa t-elle tout en me lançant un clein d'œil.

Ses yeux noirs obscur tel que le néant, sans reflets de lumières, sans lueur d'espoir, m'aspiraient complètement, je m'y perdais sens arrêt.

"Trouve la source" dit une vois dans ma tête qui mettait jusqu'alors inconnu.

"La source? Quelle source?" me demandais-je à moi-meme

Puis j'oublia cette voix et accepta l'offre de Carolane Hubert à coeur joie.

Si telle est vraiment mon destin, je pourrais y trouver des gens tout comme moi, ça pourrait s'avérer être intéressant...

°Que la voix dans sa tête voulait-elle dire par "la source" ?
°qui est réellement Carolane, est-elle une ennemi ou bien une amie à venir?
°la destiné de Lydia se trouve telle vraiment ici, à Marie-Fleur ?

PS: si ça vous intéresse, j'ai pensé donné un chapitre QUE pour les ora. Je le posterais bientôt s'il y en a à qui ça dit. Je ferais l'ORA de couleur par exemple verte puis j'écrirais à côté la race surnaturel et leurs caractéristiques telle que leurs pouvoirs, leurs capacités etc. Si ça vous dit commentez ou-et votez

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-Ju