Le Secret Dévoiler ~ Choix & Conséquences Tome I ✓

~ Chapitre 17 ~

Amor en silencio ~~ Marco Antonio Solis.

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À dix-sept heures  exactement, ils rentrèrent. C'était l'heure pour les jeunes femmes de se préparer, donc pour éviter de causer la fureur de leur  mère, faudrait qu'elles s'y mettaient à temps. Arriva à la maison, elles regagnèrent leur chambre, Aline se laissa tomber sur le lit en soupirant fortement, elle regardait le plafond comme si elle ne l'avait jamais remarqué.

— Aline mais qu'est-ce que vous faites ?

     Elle sursauta et se rassit.

— Mais vous qu'est-ce que vous faites ici ? Vous devriez être en train de vous préparez, non ?

— Oh oui ! Effectivement. Vous aussi, non ?

— C'est ce que je m'apprêtais à faire avant que vous veniez me déranger.

— Bien sûr avant que je vienne vous dérangez dans votre pensée. J'aime l'idée de visualisation mais Aline par pitié vous n'allez pas vous préparez en visualisant seulement.

— Nom de Zeus ! Martine fichez moi donc la paix.

— Je...

— Sortez d'ici.

— Mais...

— Allez ouste. Main-te-nant.

— Pas avant d'être sûr que vous êtes vraiment sous la douche.

— De toute façon je ne vais pas sous la douche tout habiller.

— Je sais, le dressing est juste ici. Sur ta droite, dit Martine en lui montrant du doigt.

Sans dire un mot de plus, Aline leva les yeux au ciel et soupira, elle se dévêtit et s'enroula avant d'aller dans la salle de bain sous la surveillance de sa sœur. Elle ouvrit le robinet et passa la tête sous le jet d'eau, puis ensuite se  lava les cheveux, Aline se rinça une fois terminé, puis se baigner. Elle sortit de la salle de bain et partit dans le dressing mettre une robe de chambre, elle enleva la serviette qui enveloppait ses cheveux et la déposa sur le bord du lit.

Elle s'assit sur la banquette et se mit à sécher ses cheveux après avoir branché le séchoir dans la prise juste à côté d'elle.

— Vous n'êtes pas encore terminé ? Surgit Martine dans la chambre.

— À ce qu'il paraît vous aussi.

— Contrairement à vous, je me suis coiffer.

— C'est ce que je m'apprête à faire.

— Mais bien sûr je n'en doute pas une seule seconde.

— Je ne mens pas.

— Et je n'ai pas dit le contraire. Bon laisser moi vous aidez.

— Je peux me débrouiller seule comme une grande fille.

— Sauf que la grande fille ne sait pas coiffer.

— Si, je sais me coiffer.

— Mère désire que vous vous coiffez convenablement.

— Et c'est ce que je vais faire. Me coiffer convenablement.

— Vous êtes tellement têtu, fit Martine en lui prenant le séchoir des mains, admettez que vous ne savez pas coiffer.

— Je ne vais rien admettre du tout.