Des vacances entre potes

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Pdv Lucas

Le numéro venaient de nous rappeler, pour nous dire que la route qui menait a notre chalet était bloqué par quatres gros troncs d'arbres et que, les secours n'arriveraient donc que demain dans la soirée. Suite à cela, Baptiste n'était évidemment pas content. Moi non plus d'ailleurs, mais bon qu'es ce que vous voulez que j'y fasse ?

Baptiste-- Quoi !?
_Pardon ?!
_COMMENT ÇA ! JE DOIS RESTER CALME ?!
_VOUS-HMM

Je me débattait actuellement avec Baptiste pour qu'il lâche le téléphone et le redonne à Arif. Baptiste criait sur la pauvre dame au téléphone. Heureusement Coco était là, et il arracha le téléphone des mains de Baptiste pour le remettre à Doig.

Baptiste-- Mais lâche moi toi !

J'essayais de l'empêcher de sauter sur Doig pour reprendre le téléphone. Non mais il faut qu'il se calme Baptiste. Dans des situations comme ça il faut rester serein.

Soudain on entendit quelqu'un toquer à la porte.

??? -- Bonjour ! Je suis arrivé, pour vous aider!

Cette intervention de la personne à la porte sembla calmer Baptiste puisque qu'il cessa immédiatement de parler.

??? -- Vous pouvez m'ouvrir la porte ? S'il vous plaît ?

Je vis Coco passer devant moi le plus doucement possible, ce dirigeant vers la porte sans bruit. A côté de ça, Doigby écoutait la voix au téléphone tout en restant concentré sur ce que Coco faisait.

Alors que la poignée commençait à s'abaisser, Corentin tourna la clé dans la porte, la fermant à clé, puis tous ce passa très vite...

Doigby-- Vous n'avez réussi à envoyer personne pour venir à notre rencontre ?

Quand je vis le visage de Doigby ce décomposer, je compris que en effet, l'homme qui était à la porte n'était en aucun cas, là pour nous aider.

Cet homme, d'ailleurs, commença à forcer sur la poignée de porte.

??? -- Ouvrez !!! OUVREZ !!!

Baptiste me prit par le bras pour que je le suive près du canapé à côté de la porte. On poussa alors tous les meubles à proximité devant la porte, avec l'aide de Corentin et Arif.

Mais même une fois cela fait, l'homme continuait de taper contre la porte de toutes ses forces.

Et alors, je ne sais pas pourquoi mais on décida de s'enfermer dans la chambre, sans fenêtre, de Gota.

Lucas-- Putain, c'est un cauchemar...

Baptiste-- J'ai pris ça au cas où.

Baptiste nous montra des couteaux dans sa main. Je recula un peu à cette vue, des couteaux pointé en ta direction, ce n'était pas très "agréable".

Baptiste donna alors à chacun de nous un couteau pour se défendre. Moi, je me retrouvais avec un couteau à bout rond...

Lucas-- Mais... Comment tu veux que je me défende avec ça ?

Baptiste-- Si je te donne un couteau plus pointu, tu vas te blesser. Et puis on va rester tous ensemble, donc c'est bon.

Pov Corentin