Chapitre 4

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Je le suis alors dans ce couloir extrêmement long, c'est dingue on dirait qu'il ne va jamais s'arrêter. Enfin, Aaron ou plutôt, Boss s'arrête devant une porte. Je m'attendais a ce qu'il me fasse rentrer mais au lieu de sa, il ouvre la porte et entre en premier. Quelle galanterie dit donc ! Je rentre a mon tour et prend bien soin de ne pas claquer la porte, même si au vu du comportement insupportable de cet homme, j'aurais mieux fais.

Aaron: Voici votre bureau. Evitez de trop déranger, j'ai pas fait le tris pour rien. Me dit-il sur un tong autoritaire.

Non mais en plus il me donne des ordres ?! Garde ton calme Rosita, respire. J'hoche la tête en guise de réponse et vais m'installer sur ma chaise.

Aaron: je vous ai mis sur un papier votre adresse mail et vous y trouverai plusieurs document dont vous devez vous charger.

A ce que je voit, je commence déjà le boulot. J'allume l'ordi et me connecte a mon nouveau adresse mail.

•••

Piouf, j'ai enfin terminé de gérer tout ces dossiers. Je regarde alors Aaron qui lui, est encore sur ses documents. Il est vrai que cet homme, malgré que je ne le connaît a peine, est très énervant, mais putain qu'est ce qu'il est beau. Soudain, il tourne la tête en ma direction et plonge ses beaux yeux noirs dans les miens. Il se lève d'un coup et en l'espace d'une seconde, il est déjà devant moi. Nos visages sont très proche, je peux sentir sa respiration contre mon visage, tandis que la mienne est complétement saccadée.

Aaron: alors comme ça on me matte ?

Mais quel enflure celui là. Je l'ai même pas maté en plus !

Rosita: je ne vous ai pas « maté », j'ai tout simplement tourné le regard et malheureusement, vous étiez dans mon champs de vision. Lâchais-je.

Il prit mon menton entre sa main et rapprocha encore plus nos visages. Sa main brûlante sur ma peau me donnait des frissons. Je le déteste.

Aaron: Osez encore parler comme ça à ton boss et je jure que vous allez le payer.

Rosita: Je n'ai aucun ordres à recevoir de vous, « BOSS ». Dis-je avant de prendre mes clic et mes claque et de sortir de la pièce.

PDV AARON..

Elle partit sans plus attendre, me laissant furieux dans ce bureau. Encore aucune femme n'avait osé me contredire ou encore mal me parler. J'en ai pas finis avec elle

•••
PDV ROSITA..

Ce soir, j'ai décidé de préparer le repas pour que Carolina sois tranquille en rentrant du travail. Soudain, j'entendis la porte s'ouvrir. Comme je l'avais prévu, cette femme très élégante apparu devant moi.

Carolina: Dios mio, Rosita tu es adorable !

Je lui lança mon plus beau sourire et me remis à ma cuisine. Une demi-heure après, je met la table et m'installe avec Carolina. Nous fîmes là prières du repas et mangeons.

Carolina: Au fait, commença-t-elle, demain nous sommes inviter chez les Sanchez. Tu me fera le plaisir d'être aimable et polie.

Je m'étouffa avec mon eau. Comment ça les Sanchez ? C'est une blague ?!

Rosita: Je suis vraiment obligé d'y aller ? Aller caro s'il te plaît, je n'ai vraiment pas envie je-

Carolina: Tu iras à point c'est tout. Je me suis engagée au près de Monsieur Sanchez donc, nous irons toute les deux.

Je lâcha ma fourchette et quitta la table. Je marcha en trombe dans les escaliers et m'écroula dans mon lit.
Pourquoi faut-il que ça arrive à moi.
Quelques minutes plus tard, j'entendis toquer à ma porte. Je ne réponds pas sachant très bien de qui il s'agit. Tout de même, Carolina entre dans ma chambre et s'assoie à côté de moi.
Elle prit une grande respiration avant de répliquer.

Carolina: Écoute mi querida, je sais que tu ne t'entend pas vraiment avec Aaron et que ce monde est tout nouveau pour toi. Mais il faut accepter, pour ta sécurité. Je suis désolée de t'embarquer là dedans. Je suis la, les garçons sont là et tous les membres sont là pour veiller sur toi.

Ces paroles me touchent énormément. Tellement que je pose ma tête sur son épaule et laisse quelques larmes couler sur mes joues. Elle caressa ma joue de son pouce et enroule ses bras autour de moi. C'est comme une seconde mère, je me sens en sécurité.

Carolina: Maintenant il faut dormir Rosita.

Elle posa un léger baiser sur mon front et partit de ma chambre. Je respire un bon coup et décide en vain de me coucher.

•••
Je me réveille. Aujourd'hui je n'ai pas cours. Je regarde sur mon téléphone et y vois affiché 11h25. MERDE !! Je n'attend pas une seconde de plus et me jette, littéralement de mon lit pour aller dans ma salle de bain. Je prend ma douche en vitesse puis cours, encore toute mouillée, vers mon armoire.
Après un bon temps de réflexion, je décide de mettre une jupe arrivant mis cuisse, en cuir noir avec un body blanc, assez basique. J'opte aussi pour des baskets simples.

12h15.

Carolina : ROSITA !! Dépêche toi on va être en retard !!

Rosita: oui oui j'arrive !

Je termine de mettre ma chaussure puis descend les escaliers à toute allure. Je vois Carolina m'attendre devant ceux ci.

Carolina: J'ai bien cru que tu n'allais jamais descendre.

Rosita: oui excuse moi ahah, je n'ai pas vu l'heure passer ce matin.

Carolina: Enfin bref, aller on va être en retard.

Je l'a suit alors vers la voiture et m'y installe sans plus attendre. J'avoue que ça ne m'enchante pas trop d'aller chez les Sanchez, particulièrement à cause de mon « boss » Aaron. Mais je me dis que comme Brad est là, je pourrais peut être m'amuser un minimum.
Après 20 minutes dans le silence, Carolina prend la parole.

Carolina: Alors ce premier jour de travail hier ? C'était comment, raconte ?

Je dois vraiment lui dire la vérité là ?

Rosita: Heum.. oui oui c'était très bien. Mentis-je.

Carolina: Tu es sure ma puce ? Tu n'as pas l'air ravie pourtant.

Rosita: Je te dis que c'était bien.

J'y ai peut être été un peu fort ? Mais je ne veux pas lui dire la vérité, si elle sait que je n'ai pas suivie ses consignes, j'ai bien peur qu'elle me dispute. Elle serait même capable de me punir.
Maintenant 35 minutes que nous roulions, on arrive devant une immense maison. Plusieurs vigiles sont au devant et à l'arrière de la maison, droit comme des piquets.

Carolina: C'est ici. Reste à côté de moi, les vigiles ne te connaissent pas encore, ils pourraient ne pas te faire rentrer.


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Voilà pour ce chapitre ! Désolée de ma longue absence, à vrai dire je suis sur ce chapitre depuis plus d'un mois, j'ai beaucoup manqué d'inspiration sur celui ci. J'espère qu'il vous plaît quand même !
Bonne lecture.

1140 mots.

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