El Juego

Chapitre 5

Je suis de prêt Carolina qui est devant moi. On arrive devant une immense porte ou se trouve devant, les vigils de cette maison/villa.

Carolina: Holà. Carolina, nous avons été invité par Monsieur Sanchez.

Vigil 1: Nous sommes au courant. Qui est la jeune demoiselle derrière vous ?

Carolina: C'est Rosita, vous ne savez donc pas qui elle est ?

Vigil 2: Jamais entendu parlé. Désolé mes demoiselles mais vous ne pouvez pas entrer si nous ne sommes pas sur que la jeune fille sois bel et bien invitée.

Soudain, la porte s'ouvre derrière ces géants hommes et une grande voix grave se fait entendre.

Mr Sanchez: Carolina, Rosita vous êtes enfin arrivées ! Dit l'homme plein de joie. Allons, laissez les entrer, elles sont toutes les deux mes invités aujourd'hui.

Les hommes se mettent tous les deux aux extrémités et nous laisse entrer. Waow tout est gigantesque ici ! Je n'en croit pas mes yeux. La décoration, les meubles, la tapisserie, tout est tellement bien fait et charmant ! Nous nous enfonçons un peu plus dans la maison et arrivons dans une grande pièce qui me semble être le salon. Un apéritif est posé sur la table basse, se trouvant en face du canapé. Plusieurs coctails y sont, ainsi que différents encas comme des biscuits, tartes, toast, fromage et encore d'autres. Un des fils de monsieur Sanchez est assis sur le fauteuil. Quand ce dernier tourne la tête je reconnais Brad et son immense sourire ma fois très communicatif. Il se lève et vient embrasser Carolina. Il se mets devant moi et me prend dans ses bras. Je suis surprise mais j'accepte volontiers ce geste. Il se retire de mon étreinte et me regarde dans les yeux.

Brad: Je suis si content de te revoir Rosita ! J'ai tellement de choses à te montrer ici !

Sa joie et sa bonne humeur me donne le sourire. C'est dingue comme il ne ressemble pas du tout a son frère. Encore heureux j'ai envie de vous dire. Deux Aaron ? Je pense que je serais morte dans cette maison. Je me tourne vers Carolina et lui lance mon plus gentil des regards pour qu'elle puisse me laisser champs libre avec Brad dans la maison.

Carolina: Oui bon d'accord c'est ok. Brad je compte sur toi pour ne pas l'a perdre. Elle est tellement maladroite et tête de mule qu'elle serait capable de se perdre. Dit elle.

Non mais je rêve c'est même pas vrai ! Bon peut être un peu mais ce n'était pas une raison pour le balancer devant mon patron et Brad.

Brad: *il lâche un petit ricanement* Oui Carolina, je vais vous l'a ramener saine et vivante ne vous inquiétez pas.

Je regarde Brad qui rigole toujours de la bêtise que Carolina vient de sortir. Je fronce les sourcils et lui lance un regard noir.

Brad: Allez le lapin enragé, je te montre l'étage ?

A peine puis-je réagir a cette insulte qu'il me traine dans d'immenses escaliers. Je me tenais comme une folle à Brad pour ne pas tomber. C'est fou comme il avance vite. Nous sommes enfin arrivés à l'étage. Je lui libère le bras puis remarque que je lui ai fait de grandes traces rouges. A la vue de cela, je regarde ailleurs pour ne pas qu'il s'en rende compte.

Brad: J'au vu tu sais Rosita.

Merde.

Brad: On va avoir du boulot pour t'apprendre à avoir de l'endurance. En revanche pour ce qui est de la poigne, tu en as déjà beaucoup. Dit il en regardant son bras rouge.

Je fait sortir un petit sourire, ce qui le fait sourire en retour.

Brad: Bref, alors ici, à ta droite tu as la chambre de mon père, ne jamais, au grand jamais y entrer a moins d'y avoir la permission. Plus loin, dit il en avançant, tu as ma chambre, à gauche. Ca ne me dérange pas que tu y ailles mais je préfère être au courant et aussi que ce soit principalement en cas d'urgence. La bas a droite c'est la chambre de Aaron. Alors la si tu y entre, autorisation ou pas, tu n'es plus de ce monde.

Je lâche un souffle. Pourquoi cela n'est pas étonnant venant de sa part ?

Rosita: Il est actuellement dans sa chambre la ? Questionnais-je.

Brad: Oui il me semble, mais ce n'est pas son jour, il est, comment dire, de mauvais poil.

Rosita: Il est tout le temps de mauvais poil de toute façon. Marmonnais-je.

Brad: C'est vrai. Mais c'est mon frère écoute, il ne changera jamais.

Attend il m'a entendu le dire ? Oh la boulette. Brad continue son chemin dans le couloir, voulue faire de même mais je suis bloquée par une main m'agrippant le poignet. Je suis maintenant collée au torse de la personnes derrière moi. Une longue mais douce respiration frôle ma nuque.

Aaron: Alors comme ça on se moque de son boss ? Vous êtes au courant que je peux vous infliger des heures sup Toledo ?

Aaron. Il m'appelle par mon nom de famille en plus, il veut me rappeler que mes parents sont des fous meurtriers c'est ça ? Je me tourne pour lui faire face et garde la tête haute. Je me rapproche de son oreille.

Rosita: Ca tombe bien j'adore travailler. C'est un honneur "boss". Dis-je sur un tond de sarcasme.

Il serre sa mâchoire et relâche mon poignet. Je recule tout en continuant de le regarder puis, après quelques pas fait, je me retourne et reprend ma route vers Brad qui lui avait déjà bien avancé. Une fois avoir rattraper Brad, la voix de Carolina se fait entendre du bas des escaliers.

Carolina: Les enfants on va passer à table, venez ! Cria-t-elle.

Brad se retourne vers moi et me fait signe de la tête pour que je le suive en direction des escaliers. Je le suis donc puis entend une port derrière moi. Je tourne la tête et aperçois cette enflure qui me sert de boss, patron, enfin bref tout ce qui rime normalement à être supérieur a moi. J'accélère le pas pour ne pas devoir a l'affronter une nouvelle fois, malgré le fait que je vais devoir manger avec lui. Heureusement que les autres sont la. Maintenant descendu, nous arrivons dans le salon ou se trouve encore l'apéritif, déjà légèrement grignoté par monsieur Sanchez et Carolina. Mais il y a aussi le repas mis sur la table de salle à manger.

Mr Sanchez: Veuillez donc venir vous installer les enfants, il y a tout un tat de choses a manger !

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Voilà pour ce chapitre ! Celui là est sortit un peu plus vite, j'ai eu pas mal d'inspiration ! Merci de lire mon histoire et bonne lecture à vous.

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