P.O.V Michou.
00h45 - Salle Pleyel - Paris.
Je venais vraiment de me battre avec ce Adrien ce type est taré , bon il avait gagner j'avais hyper mal au niveau de l'œil et de mon épaule mais je ne dirais rien à Elsa, de une je ne veut pas qu'elle s'inquiète plus qu'elle est le fait déjà et de deux demain ça iras mieux c'est juste le choc. Je me releva avec l'aide de deux agents de sécurité, et Elsa qui se tenait debout devant moi en pleure en me demanda si ça allais. Évidemment je répondis oui en lui mentant. Pourvu qu'elle ne le remarque pas. Elle n'a pas eu le temps de me poser d'autre questions que l'agent de sécurité lui posa à son tour des questions pour comprendre ce qui c'était passer. J'ai aussi entendu que je devais rester là jusqu'à l'arrivée de la police. Elsa qui avait un sweat et était en leggings de sport tremblais de froid, je commence à enlever ma veste pour lui donner je faisait mine de pas avoir mal mais le faite de bouger mon bras me faisait atrocement mal, finalement un des agent de sécurité nous proposa d'entrer histoire d'être au chaud. Quand la lumière de la salle se ralluma Elsa découvris mon visage. ... et merde.
- Putain ton œil Miguel ! Il est enflé t'es sûr que ça va.
- Le plus important c'est que toi tu n'ai rien. T'inquiète pas pour moi.
- Mais ton.. œil...
- Elsa je t'ai dit que ça allais.
- Mais non ça va pas. C'est de ma faute tout ça.... Je n'aurais jamais dû dire à Lilou que il était là... je serais sortit des toilettes toute seule et c'est à moi qu'il aurais dû continué de s'en prendre.
- Hey, arrête de dire des choses comme ça c'est rien. Tout va bien d'accord. Je mentais encore pour ne pas la culpabiliser encore en plus.
- Je suis désolée Miguel mais... une larme coulas sur son visage. Je m'approche d'elle en l'essuyant avec mes doigts et lui coupant la parole.
- Mais ? Quoi? Ne me dit pas ce que je crois s'il te plaît.
- Tout ça c'est trop pour moi... j'ai peur ... vaut mieux que ça s'arrête ... il te ficheras la paix. Tu voit bien qu'on peut pas être ensemble ... il va nous mener la vie dure jusqu'à temps qu'il obtiennent ce qu'il veut.
- Et alors ? Je m'en fout qu'il me fiche pas la paix. La seule chose que je veux c'est être avec toi. Qu'il obtienne ce qu'il veut ? C'est à dire ? Toi?
- Pas que, il veut que je sois malheureuse toute ma vie c'est tout.
- Et tu veux qu'il gagne ?
- Non. Bien sûr mais je ne veut pas qu'il continue à s'en prendre à toi.
- Ca va changer quoi? Il va continuer à t'attirer des ennuies!
- Oui sûrement mais pas à toi.
- Mais je t'ai dit de pas t'inquiéter, pour moi.
- Miguel tu le connais vraiment pas ça se voit. Jusqu'à ou ça va aller ça ? Jusqu'au jour où on va m'appeler pour me dire que c'est la dernière fois.. que cette fois si c'est fini tu reviendras plus? Je regrette je peut pas. Dit toi que je fait ça par amour. Merci pour tout ce que tu as fait vraiment merci mais... elle commença à se lever pour changer de place et s'éloigner de moi. C'est trop dure d'y penser sans cesse tous les jours qui pourrais t'arriver le pire.
Elle était déjà plus loin de moi je me leva de ma chaise et approcha à nouveau d'elle.
- Elsa écoute moi bien s'il te plaît Je te le répète encore une fois. Je t'ai promis de jamais t'abandonner d'accord. Et je tiens toujours mes promesses. Alors ce mec là il peut briser tout ce qu'il veut chez moi. Mais pas ce qu'on a construit ensemble. Quand j'étais dans le coma, c'est grâce à toi que j'en suis sortit d'accord. Je t'aime et ça personne je dit bien PERSONNE ne me le retira.
On se fait soudainement interrompre par la police qui venait d'arriver.
Policier : Monsieur Mattioli suivez nous s'il vous plait on va discuter.
Je regarda Elsa qui était assise sur sa chaise, les larmes aux yeux.
P.O.V Elsa.
J'étais à nouveau perdu. Je savais qu'Adrien nous lâcherais pas d'une semelle c'était plus fort que moi d'avoir peur a chaque fois. Mais le problème c'est qu'au fond de moi je n'arriveras pas à me séparer de Miguel. Je l'aimais plus que tout. Je savais qu'il allais pas être d'accord avec ce que je disais. Il avait raison quand il m'a dit qu'il me lâcherais jamais. Il était toujours là pour moi quoi qu'il arrivais. Il avait une marque sur son visage qui le prouvais. Je savais qu'il me mentais qu'il avait mal je le connais très bien maintenant. Je m'inquiète pour un œil gonflé je suis dans tout mes états,alors imaginez vous si il lui arrivais le pire je voudrais qu'il sois débarrasser de tout ça mais à la fois j'avais besoin de lui. Il n'y avait que lui pour me rassurer. Il est ma force, mon rayon de soleil au quotidien même dans les moments les plus dure il est là .. carrément à me mentir pour pas que je m'inquiète. Personne m'aimeras au temps que lui j'en suis sûr. Mais j'étais quand même perdu entre mes sentiments et la peur. Je sortis de mes pensées quand j'entend un bruit de porte qui s'ouvre et la voix d'un des deux policier.
Policier : Au revoir mr Mattioli et à demain. Soignez moi tout ça et prenez soin de vous et de votre petite amie.
M : Merci monsieur oui à demain. Ne vous inquiétez pas pour ça.
Il était enfin de retour près de moi. Il me regarda en me demandant de faire de même. Mais je n'y arrivais pas voir son œil dans cet état me rendais tellement coupable et en colère à la fois. Je fini par le regarder quand même et pris là parole.
- Pourquoi il t'a dit à demain?
- Pour que tu témoignes.
- On peut pas le faire maintenant ?
- Non ! Même lui il m'a dit que c'était mieux pour toi de revenir demain.
- Bon d'accord. On y va alors?
On se dirigea vers sa voiture pour rentrer. Après une bonne quinzaine de minutes, on arriva enfin chez lui. Miguel fila directement dans la chambre pendent que moi je me dirige vers le congélateur et reviens vers lui.
- Tiens met ça un peu sur ton œil. Normalement il faut le mettre tout de suite mais ça te soulagera un peu quand même.
- Merci..
Pendent que Miguel essaya de calmer là douleurs avec la glace moi je suis partit prendre une douche rapide avent de me coucher. J'etait épuiser choqué et encore perdu. Miguel poser le poche de glace dans la cuisine est était venu se coucher auprès de moi et c'était endormi rapidement après m'avoir déposé un baiser sur le front et d'avoir essayer encore de me rassurer. La seule chose que je savais c'est que lui au moins tenais ses promesses.
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