Les Apparences Sont Trompeuse

Enterrement

Le corps de Harold a était retrouvé 5 jours après le meurtre et comme l'avais prédis Thomas, les journaux en ont conclut à un vol qui a mal tourné.

Ce matin là, mon père est venu me voir en me montrant le journal et pour ne pas éveiller de soupçon, j'ai fait mine d'être bouleversée par cette annonce.

Mon père me pris dans ces bras et me réconforta du mieux qu'il a pu, preuve qu'il cru à mon chagrin.

Le matin de l'enterrement, les parents de Harold arrivent à la maison et me pris dans leurs bras, j'eus de la peine pour eux, leurs faire croire à un à chagrin qui n'existé pas, quand la mère de celui ci pris la parole.

" Ma douce enfant, je partage votre peine."

Me dit elle en me prenant dans ses bras.

" Je l'ai su dans les journaux, mes condoléances madame Oswald"

Mentai-je, en essuyant de fausses larmes et son mari, s'approcha à son tour.

"  Un tragique accident, d'après la police, il c'est fait voler ses affaires et ce monstre là tué"

En entendant ce therme, mon cœur ratta un battement, mon Thomas n'est pas un monstre, il a fait ça pour nous, pour qu'ont sois ensemble.

L'enterrement devais se dérouler en début d'après-midi, et Lizie devais me préparer.

Je fini mon thé et monter les escaliers quand j'entendis les pleurs de Mme Oswald, elle me faisait énormément de peine et moi je mentais sur la mienne.

Will qui était venu tôt ce matin avec sarah, me retrouva dans ma chambre.

" Ma sœur, comment tu vas ?"

Je lui répondi en faisant semblant de pleurer et il n'y vu que du feu

" Mon frère, comment cela a t'il pus ce passé ?"

" D'après la police, il aurait était pris par surprise et n'a pas eu le temps de se défendre, mais d'après les témoins, il était en compagnie d'une autre personne, mais personne n'a vu qui c'était."

À ce moment, je fis prise de panique à l'idée que quelqu'un est aperçu Thomas, il faut que je le vois, il faut que je lui en parle. Je lui en parlerai se soir après l'enterrement.

Le déjeuner se fit en silence, je vis de la tristesse dans les yeux des parents Oswald, je devrais culpabiliser, mais je n'en fis rien.

Vêtue de vêtements de deuil, que je marchait dans l'allée du cimetière, derrière le couple Oswald, mon père et mes frères derrière moi.. Une cinquantaine de personnes sont venus assister à l'enterrement, quand je le vis de loin, à l'abris d'un arbre, je me risqua un sourire et un petit geste de la main en sa direction et il me le rendis.

Pendant la cérémonie, un petit garçon s'approcha de moi et me tendis une lettre que je pris le plus discrètement possible et la cacha dans la poche de ma robe, tandis que mon père se tourne au même moment.

Je fais mine de m'essuyer de fausses larmes et mon père me pris dans ses bras et me dit à l'oreille.

" Tu n'es pas mariée que tu es déjà veuve, ma tendre enfant, je t'en trouverai un autre. "

Surprise par ces mots, je ne sus quoi dire, mon père pensait qu'à me mariée, mais je ne voulais pas de ces prétendants, je voulais mon Thomas, mais tant que mon père sera encore en vie, je n'aurais pas le choix d'épouser un homme que celui ci m'impose quitte a me rendre malheureuse.

Je me risqua à lui répondre.

" Père, donnez moi tu temps svp, mon chagrin est immense, mon fiancée a était assassiné suite à une agression et vous voulez m'en donner un autre"

Je vis dans le regard de mon père de la compassion et une légère colère, il faut dire que le ton que j'ai employée pour lui répondre était légèrement froid.

" Bien sûr ma fille, pardonne moi, je te donne 1 mois pour ton chagrin et tu en rencontre d'autre !? "

" Oui père"

Je n'avais pas le choix, il fallait que j'aille voir Thomas et tous lui expliquer.

L'enterrement fini, je rentre à la maison et monta dans ma chambre, prétextant la fatigue. Une fois dans celle ci, je ferme la porte à clé et lis la lettre que le petit garçon m'a donné.

J'ouvris l'enveloppe et reconnu l'écriture de mon bien aimé.

" Mon amour, ma Rose,

Retrouvez moi ce soir à la maison vers minuit, j'ai a vous parlez et l'envie de vous touchez me manque. Vous étiez en beauté aujourd'hui, malgré ces vêtements et vous jouez divinement bien la comédie.
Je vous aimes, votre amour pour toujours.
Thomas "

La derniere phrase de sa lettre me fis sourire et c'est vrai que jouée la comédie toute la journée, ma plu, je cache la lettre sous une latte de mon parquet et me change.

La nuit tombée, j'attendais dans mon lit que la maison se couche et à 23h45, il n'y avait plus un bruit dans la demeure, je me risque a vérifier les chambre, mon frère dort ainsi que mon père, quand à Will et Sarah, ils sont repartis chez eux à la fin de l'enterrement.

Je sortie par la fenêtre en veillant à pas faire de bruit, après avoir cachée la corde de fortune derrière un buisson, je mis mon manteau et ma capuche et alla chez Thomas.

La nuit est belle et calme, je me dépêche pour arriver chez lui, pressée de le revoir, de l'embrasser et de le toucher.