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Avoir dix milles idées dans la tête, commencer d'innombrables projets, se lasser, ne pas penser être a la hauteur, se fatigué. N'en finir aucun.

Aimer ou détester au premier regard, se passionner d'une personne. S'offrir, souffrir.

Je devrais pas mettre mon casque a fond. Mais c'est la seule manière d'annihiler mes pensées.

C'est de cette manière que je commence l'histoire, pas vraiment la mienne, pas vraiment celle de quelqu'un d'autre. Ni réel, ni véridique mais pas fausse non plus.

Ça commence avec un battement cœur, une rencontre, les yeux dans les yeux. Et ça ne finis pas. pas encore. Parfois si.

Ça se passe dans un café, dans une classe, à une soirée, dans un bar. Après une défaite et a la suite d'une victoire.

Dans les tourmentes de la vie. C'est la qu'est sa place. Dans nos pensées et dans les votre.

Il n'y a pas de message. Que celui que vous retiendrez. Si il y a à retenir.


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C'est d'abord un mot, puis une phrase, une connexion. Tu le vois, tu le déduis que c'est bien plus. Mais personne, dans cette histoire, se prétend voyant, personne n'a vu la suite. Et c'est mieux ainsi. Il ne faut pas chercher d'explication, sur le moment il en était ainsi. Je crois que je me souviens plus de ce mots, de cette phrase. Je crois que je me souviens juste du bonheur, du bonheur qui réchauffer une partie, une partie rester trop longtemps froide. Oui c'est comme ça que cela a commencé, avec tendresse, avec chaleur. On a ris, et souris. Il semble, que elle aussi. C'est comme si tout s'arrête et redémarre en même temps. Je vois l'odeur du café, des gens, des cours. Je sens la lumière jaune, les fauteuils et son sourire. Son sourire, ensoleillé. Oui c'est comme cela que ça à commencé. Avec un sourire.

Et ensuite ? Et ensuite.

Ce n'est pas juste, ça ne la jamais été. C'est comme chercher un mot, et ne s'en souvenir que quand il est trop tard. Je ne cherche pas le mot, je le ressens et c'est suffisant. C'est pas descriptible. Je vais le décrire.

Ensuite, on recommence, autant de fois, pour être accro. On recherche ce qui nous shoot. Besoin d'avoir besoin. Besoin d'assouvir le besoin. Envie de la revoir, sans le savoir. C'est la, peut être finalement, que tout commence. A moins que ce ne soit bien avant. Bien avant. Peut être cela commence avec le froid, avec la tristesse et les pleurs. Peut être était-il temps, de trouver sa, ma, chaleur. Et alors avec tout ça c'est peut-être bien loin le commencement. Mais pour cette histoire, notre histoire, votre histoire, le début sera son sourire. Et la suite le remède.

C'est voire la lumière, aveuglante, effrayante, trop chaude, agressive. C'est sentir, ressentir, la sensation disparu, oublier. C'est l'envie de se faire du mal en se faisant du bien, non, c'est l'envie de se faire du bien même si, parfois, ça fais mal. C'est la suite. Débloqué comme dans un jeu vidéo. C'est la suite de l'histoire, et c'est la raison pour laquelle elle existe. Parce qu'il était temps. Temps de s'aveugler pour enfin y voire. Temps de sortir d'un endroit réconfortant pour se confronter. Se confronter a vous, a eux, a moi. Et se fut l'affrontement.

Il fallait, il faut, résister a y retourner. C'était, pour ma part, un peu difficile mais pas tant. Une fois que vous les avez vu, ses yeux, vous voulez continuellement les regarder. Pour cela il faut du soleil. Du soleil éclairant. Lumineux. Et c'est comme cela que le défi, la guerre que l'on s'est lancés a débuté. Vous étiez la, tout comme moi. On a vu, entendu. Mais personne ne se souviens réellement.

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⏰ Last updated: Mar 19, 2022 ⏰

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