Olympus Gods, Partie 2

Chapitre 46

Coucou! Retour après une petite pause! 

***************************************************************************************Persé 

Je poussa un soupir en passant mes mains dans mon visage. Les questions provenaient de partout autour de la table. Certaines étaient à propos du Tartare, d'autres sur la reconstruction du royaume, sur mon influence à l'Olympe et plusieurs sur la question du mariage. Cela faisait un mois que j'étais de retour et sur pied pour aider Hadès à diriger son royaume, mais il y avait eu tellement de retard avec le fait que son esprit avait été embrouillé. Le fait que je n'avais pas été là pendant un an apportait son lot de travail aussi. Soudainement, la situation autour de la table se dégrada et le chaos prit le dessus. Tout le monde parlait les un par-dessus les autres en tentant de faire valoir que son point était meilleur que l'autre tout en oubliant que j'étais au bout de la table. Luminosa entra dans mon bureau en appelant mon nom à voix haute pour attirer l'attention de tout le monde pour avoir le silence.

-Quelqu'un est ici pour te voir, dit-elle avec un grand sourire en se tassant un peu pour laisser entre mon père.

-Papa, soufflais-je en me levant pour aller le prendre dans mes bras.

Mon père était le seul mortel à avoir le droit de venir dans le monde où j'étais.

-Est-ce que je te dérange? demanda-t-il en regardant la table remplie de gens.

-Non, dis-je en secouant la tête. Nous avions justement terminé, dis-je avec un grand sourire à la tablée qui baissa leur regard. Viens, dis-je en le prenant par le bras pour le tirer dans le couloir avec moi.

-Occupé? me demanda-t-il avec un petit sourire en coin.

Je roula les yeux en guise de réponse. J'apporta mon père au couloir vitré qui donnait sur la ville qui était tranquillement en reconstruction.

-Vous êtes chanceux, dit mon père en regardant à l'extérieur.

-Comment ça? demandais-je par surprise.

-Bien la petite ville dans notre monde n'a pas vraiment les ressources pour se reconstruire, dit-il toujours en regardant à l'extérieur.

-Le gouvernement ne fait rien? questionnais-je en croisant les bras.

-À-il déjà eu un gouvernement dans cette partie? répliqua mon père en secouant la tête. Présentement les troupes tentent de nettoyer les grands chemins pour que la population y passe et que ce soit plus sécuritaire, mais ils sont pris avec de gros blocs qui sont incapables de bouger, m'expliqua-t-il.

-Apporte-moi papa, je peux aider! m'exclamais-je prête à sortir un peu pour revoir mon ancienne équipe.

-Persé, dit-il en me regardant de haut en bas.

J'avais un pantalon à taille haute blanc avec un petit chandail transparent noir, mais de la dentelle cachait mes seins.

-Ce ne serait pas la première fois que je fais quelque chose en talon haut, dis-je en lui donnant un petit coup sur l'épaule. On y va, ajoutais-je en lui prenant la main pour nous téléporter dans sa tente non loin de la ville.

Le temps était calme et le ciel dégagé. Je sortis de la tente en marchant vers le site, mon père suivant proche.

-Persé, tu ne pourras pas les lever, je te dis c'est beaucoup trop lourd, dit-il en me rattrapant.

Plusieurs soldats me regardaient et chuchotaient entre eux puis j'arriva au bouchon. Plusieurs camions s'y trouvaient ainsi que de nombreux soldats à la recherche d'une façon pour pousser les grands blocs de pierre. Mon père siffla pour attirer l'attention.