CHAPITRE 9. JOHNNY
Après les instructions du professeur, les groupes sont maintenant créés, même si Jackson ne veut pas utiliser le terme de groupe, on reste quand même à être les seuls aux barres parallèles. On va devoir faire avec son caractère de cochon, mais bon j’espère qu’il se débloquera un peu et sera moins froid.
On commence par s’échauffer et s’étirer, ses muscles sont très imposants de près, ça a quelque chose d’artistique, limite, la forme de ses bras, sa structure…
« -Qu’est ce que tu guettes ?! me hurle Jackson, je suis pris en plein la main dans le sac, je réponds, sincèrement:
-Tu as, de très beaux biceps, c’est impressionnant, Jackson à l’air déstabilisé, il répond:
-Heuuu, merci toi aussi, t’es beau— heu t’as de beaux bras oui. »
Jackson rougit, de honte sûrement, ça le rend limite mignon.
On se place a niveau des barres parallèles et je me lance le premier, je suis surpris par les barres qui sont très glissantes, mais étant lancé et regardé par Jackson, je n’ose pas m’arrêter. Je fait un 180° et commence à me lever pour partir en appui sur épaules et ainsi tendre mes jambes. Mais soudain ma main droite glisse et je sens mon corps musclé et virile se renverser sur le côté, « je vais avoir mal », je pense. Avant de m’arrêter à ras du sol soulevé par une étrange force, très intense.
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Deux barres en valent mieux qu'une
RomantikUn amour impossible, ou presque, entre deux jeunes protagonistes lycéens. (inspiré de faits réels)