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Tu peux la retrouver dans ma liste "TimothéeChalamet - imagine 🎭"
Bon lecture.
(Votre point de vue)
"Je suis désolé, Timothée, je ne peux pas aller déjeuner", dis-je dans le téléphone. "J'ai cours." « Allez, bébé. S'il te plait ? Juste une demi-heure », supplie Timothée. "Désolé, ça ne peut pas arriver. Je te verrai demain, je t'aime," dis-je.
Timothée dit "Je t'aime aussi" et je raccroche le téléphone.
J'aimerais pouvoir passer du temps avec lui.
Depuis la rentrée et depuis que Timothée a recommencé à filmer, nous n'avons guère eu le temps d'être ensemble.
Nos soirées cinéma, nos dîners dans la voiture et nos rendez-vous à travers la ville me manquent.
Mais je suis tellement occupé à essayer d'obtenir mon diplôme que les rendez-vous sont de plus en plus difficiles à planifier.
Je sors de mes pensées et vérifie l'heure sur mon téléphone.
Merde!
Le cours commence dans deux minutes.
Je cours à travers le campus et j'arrive dans mon cours d'anglais juste avant qu'il ne soit trop tard.
J'essaie de me concentrer sur le cours de mon professeur sur Shakespeare, mais mon esprit continue de vagabonder vers mon petit ami.
"Mme T/N/F!" crie le professeur. "Pouvez-vous répondre à ma question s'il vous plaît ?" "Uummm, c'est, euh. Roméo. Roméo Montague." "J'ai demandé ce que voulait dire le passage de la page 25. De plus, nous lisons Hamlet. Pas Roméo et Juliette. Faites attention ou vous serez expulsé." "Oui, bien sûr, monsieur. Cela n'arrivera plus."
Pour le reste du cours, je fais de mon mieux pour écouter le professeur, mais de temps en temps je commence à penser à Timothée.
"Bon cours, bon travail. Eh bien la plupart d'entre vous," dit le professeur, tournant son attention vers moi pour la deuxième partie.
"Le devoir ce soir est de lire la Scène I de l'Acte III et d'entrer avec des notes pour la discussion. Vous êtes congédié."
Dès qu'il a fini de parler, j'attrape mon sac et me précipite vers la porte. Je vérifie mon téléphone une fois dehors et je vois une notification Snapchat de Timothée.
C'est une photo de lui portant un sac à dos debout devant un immeuble. Attendez, je pense que je reconnais ce bâtiment... Je détourne mon regard de mon téléphone et regarde à travers le campus.
Le voilà! Le même bâtiment sur la photo de Timothée ! Ça veut dire qu'il est là !
Je range mon téléphone dans ma poche et me précipite vers le bâtiment.
En m'approchant, je vois Timothée debout, les bras tendus et le sourire aux lèvres.
Quand je l'atteignis, je courus dans ses bras et le serrai fort.
"Que fais-tu ici?" je demande, essoufflée d'avoir traversé le campus en courant. "Je voulais passer du temps avec toi. Et je sais, je sais. Tu es occupé. J'ai pensé que je pourrais t'aider à étudier. Oh, et j'ai apporté des collations." "Comment es-tu arrivé ici ?" "Je me suis habillé comme un étudiant. J'ai pensé qu'ils ne laisseraient personne au hasard sur le campus, alors je fais semblant d'être un étudiant." "Et si quelqu'un te reconnaît ?" "J'espère qu'ils ne le feront pas !"
Je ris et l'embrasse rapidement sur les lèvres.
"Je suis tellement content que tu sois venu. Allons-y !"
J'attrape la main de Timothée et je le traîne pratiquement jusqu'à mon dortoir. Heureusement, mon colocataire est en classe, nous avons donc du temps à passer seuls.
"Bienvenue dans mon humble demeure," dis-je quand nous entrons.
Je me rends compte que c'est la première fois que Timothée voit ma chambre.
"Qu'est-ce que tu penses?" "J'aime ça. Mais j'aimerais mieux si j'étais le colocataire..." dit-il d'un ton suggestif.
Je frappe joyeusement son bras et roule des yeux.
"Alors, qu'est-ce qu'on étudie ?" me demande Timothée. "Hamlet. Acte III Scène I. Tu veux le lire avec moi ?" "Ouais. Commençons."
Pendant la demi-heure suivante, Timothée et moi avons lu le scénario ensemble et pris des notes.
C'est incroyable à quel point les devoirs sont amusants lorsque vous les faites avec quelqu'un que vous aimez.
"Et voilà ! C'est fait." dit Timothée en jetant le livre sur la table et en sautant sur le lit. "Merci de m'avoir aidé," dis-je. "Bien sûr. Maintenant, il est temps de se détendre. Viens ici."
Timothée me fait signe de le rejoindre sur le lit. Je serre dessus, mais c'est serré car le lit n'est pas très grand.
"Désolé, c'est tellement écrasé," dis-je. "Tu plaisantes ? J'adore ça. Cela signifie que je me rapproche de ma personne préférée."
Je rougis et souris à Timothée.
"Je t'aime, T/N. Tellement", dit Timothée. "Je t'aime aussi."
